13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 11:14
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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 09:57
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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 21:57

 

Message relayé

A.I.L.P.C.

(Association Internationale de Lutte et de Prévention contre le Cancer)

 

 Le site de l'Association expose:

 

 1 - LA DECOUVERTE

 

La première cellule cancérisée par la main de l'homme voit le jour dans notre Unité de Recherche, SESTRA LAB, à LAMBESC (France),  fin 1972.

 

Le cliché d'une cellule conjonctive cancérisée est remis au Docteur MEYER, Directeur de l'Unité 119 INSERM-MARSEILLE-BORELLY.


 2 - LE TRAITEMENT

 

SESTRA LAB met au point un traitement qui permet d'obtenir la rémission des tumeurs en bloquant le métabolisme cellulaire.

 

Après avoir bloqué le métabolisme cellulaire et le fait de stimuler les lymphocytes T de l'organisme, donc l'essentiel de nos polices naturelles, le traitement permet la récession de la tumeur.


 3 - DANS LE CADRE DE LA PREVENTION

 

"Nos lecteurs, adhérents et donateurs doivent strictement se conformer à l'absorption des substances dont les analyses sanguines mettent en évidence les carences."

 

 

LA DECOUVERTE

 

La première cellule cancérisée par la main de l'homme voit le jour dans notre Unité de Recherche, SESTRA LAB, à LAMBESC (France),  fin 1972.

 

Le cliché d'une cellule conjonctive cancérisée est remis au Docteur MEYER, Directeur de l'Unité 119 INSERM-MARSEILLE-BORELLY.

 

Après 8 années de travaux orientés vers la maladie par carence, la découverte de l'Unité est:

 

"Une famille … de cellules saines … privées de magnésium … n'arrivent pas à maturité … dupliquent … libèrent des brins d'acide nucléique … qui agressent … une autre famille … de cellules saines … naissance de cellules cancéreuses".

 

Voir pages 13, 14, 15, 16 et 29.

 

(...)

 

"Ainsi, après des milliers de manipulations et de cultures in vitro, sur souches de collagène, nous pouvons établir dès 1972 quelles sont les carences susceptibles d'être à l'origine des cancers.

 

Nos amis adhérents trouveront après remise de bilan complet, toutes les explications nécessaires et les précautions à prendre à titre préventif, afin d’éviter de faire la maladie.

 

 

Fort heureusement, nous trouvons sans difficulté toutes les substances qui sont indispensables à l’équilibre cellulaire et qui  font défaut dans notre alimentation."


 

Source: http://www.cancer-cqfd.com/


 

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 09:47

 

Un moteur de recherches
spécialement dédié au cancer

 

 

Voilà un outil bien utile qui permet de découvrir (en anglais) des milliers d'approches alternatives relatives au cancer, à toujours examiner, bien sûr, avec le plus grand discernement personnel.

 

Over-Blog ne permettant pas de placer le moteur directement sur une page d'un blog Over-Blog, il n'est pas possible d'intégrer le moteur directement dans cette page. De ce fait, vous pouvez entrer votre question (de préférence en anglais), sous la forme d'une phrase complète, en allant directement sur la page du moteur ci-dessous:


 

Moteur de Recherches Cancer Expert

 

 

  Bonnes découvertes!

 

 

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 07:59

 

Message relayé


Le cancer, enfant terrible du hasard?

 

Néosanté hebdo
mercredi 23 janvier 2013
     

Bonjour,

portrait de Yves RasirCette semaine, je me mets en retrait et je vous propose un extrait du livre que nous venons de publier aux éditions Néosanté: «La vérité sur le cancer que la médecine ne vous dit pas encore». Son auteur, Boris Sirbey, est un jeune philosophe des sciences qui a écrit cet essai sur le cancer en hommage à sa mère. Il y raconte la tragédie qui s'est déroulée lorsqu'elle a été hospitalisée, démythifie la vision classique de la maladie, explore la piste psychosomatique et développe une série de réflexions sur l'avenir de la médecine.. Son but est de montrer que, loin de se ramener à une simple affaire de génétique et de produits nocifs, le cancer est toujours en relation étroite avec le vécu personnel du patient. Dans cet extrait, Boris Sirbey met le doigt sur les failles et les contradictions de la théorie officielle, laquelle attribue au hasard un rôle prépondérant dans le processus cancéreux. La semaine prochaine, nous vous offrirons un autre extrait montrant que l'approche psychobiologique du cancer s'appuie sur des bases rationnelles autrement plus solides. Je vous recommande chaudement la lecture de ce livre d'ores et déjà disponible en libraire et sur notre site internet au prix modique de 20 €. Et je vous encourage à faire suivre ce message à vos contacts.

Yves Rasir

 

     
Le cancer, enfant terrible du hasard?

 

La médecine institutionnelle considère le cancer comme le résultat de l'apparition d'une cellule anormale qui, après avoir été mise en contact avec une substance pathogène, se met à se multiplier à une vitesse exponentielle. Apparaissant d'abord dans un organe donné, le foyer primitif libère alors des cellules cancéreuses capables de former, dans d'autres parties du corps, des métastases, c'est-à-dire des cancers secondaires. Les perturbations qu'entraîne le cancer finissant inévitablement par entraîner la mort, il est alors justifié de recourir à des moyens particulièrement drastiques comme la chirurgie, la chimiothérapie ou la radiothérapie pour l'oblitérer rapidement.

Ce modèle, à première vue, semble bien rendre compte des observations expérimentales sur cette maladie. Néanmoins, il implique aussi un certain nombre de contradictions. Une part très importante du processus de formation du cancer tel qu'il est envisagé par la médecine conventionnelle, en effet, relève du hasard: en premier lieu, dans le fait même de l'apparition de cellules anormales, dont la raison de la formation reste encore un mystère; ensuite, dans le passage à l'état de cellule cancéreuse, qui est provoqué par la mise en contact accidentelle avec un produit pathogène; enfin, dans l'évolution du cancer, la création de colonies se faisant au gré du déplacement erratique des cellules cancéreuses dans les systèmes sanguin ou lymphatique. Pourtant, un certain nombre de facteurs semblent contredire cette hypothèse du hasard:

  • L'organisme produit en moyenne 300 cellules cancéreuses par jour: toutefois, au lieu de devenir des cancers, elles sont automatiquement éliminées par le système immunitaire, qui les identifie comme éléments indésirables. La médecine institutionnelle en conclut donc que ce qui provoque le cancer est une déficience du système immunitaire, qui, pour une raison inconnue, devient incapable de faire la différence entre une cellule normale et une cellule cancéreuse. Cependant, l'organisme est un système d'une extraordinaire sophistication, et qui ne survit que parce qu'il arrive, en dépit de changements constants, à maintenir un équilibre global, ce qui suppose d'incessants ajustements au niveau de l'interaction des organes. Cette capacité à s'autoréguler dans un équilibre dynamique est appelée l'homéostasie. La composition du sang, par exemple, met en jeu presque tous les processus métaboliques, ce qui suppose un degré de complexité que le plus puissant ordinateur aurait du mal à gérer. Or, il semble pour le moins difficile d'expliquer comment un système de surveillance aussi efficace peut connaître des dysfonctionnements aussi grossiers que le postule la cancérologie, contredisant l'intelligence qu'il démontre par ailleurs dans le maintien de l'homéostasie organique.
  • Si vraiment le cancer est le produit d'un dysfonctionnement immunitaire et d'un hasard, pourquoi est-ce que tous les cancers ne sont pas d'emblée des cancers généralisés? Dans la mesure où le système immunitaire ne fait plus son travail, il faudrait logiquement que des foyers cancéreux apparaissent non dans un endroit précis, mais un peu partout dans le corps. Or, dans la majorité des cas, les cancers sont circonscrits à un seul organe, avec des métastases elles aussi placées de façon précise dans le corps. Pourquoi est-ce que le système immunitaire continue d'éliminer les cellules cancéreuses qui se forment partout ailleurs dans le corps, pour ne les laisser proliférer qu'à un endroit bien localisé?
  • Comment expliquer le processus de formation des métastases? Se fondant sur le caractère mécanique de la propagation du cancer, la médecine conventionnelle postule qu'elles transitent par le système circulatoire pour former de nouveaux cancers à un endroit ou à un autre de l'organisme; mais il est en réalité extrêmement difficile de prouver que quelque chose d'aussi gros qu'une cellule cancéreuse puisse réellement migrer à travers ce filtre extrêmement précis et complexe qu'est le système sanguin, surtout si cette migration a pour but de former une colonie dans un organe dont les tissus sont totalement différents. Or il est fréquent que des cancers du foie génèrent des métastases au poumon ou au cerveau, ce qui contredit la logique de dissémination spatiale qu'ils sont censés suivre. Par ailleurs, personne n'a encore pu observer de façon réellement directe la migration des cellules cancéreuses, ce qui rend cette hypothèse difficilement tenable. Mais si ce n'est pas cette migration qui est à l'origine des métastases, qu'est-ce qui les provoque?
  • Comment expliquer l'existence de cancers au développement fulgurant, qui n'évoluent pas sur une période de quelques années, mais se manifestent au bout de quelques jours seulement? Compte tenu de la vitesse de division des cellules cancéreuses, un enfant qui aurait respiré des particules d'amiante en passant sous un porche vétuste en 1984 ne devrait contracter un cancer des poumons qu'en 2001. Or il se présente régulièrement des cas de cancers apparaissant non en dix ans, mais en l'espace de quelques semaines, les analyses qui n'avaient rien révélé auparavant montrant soudain l'apparition d'importantes masses tumorales. Là encore, la médecine officielle postule le plus souvent qu'une erreur a été faite au niveau des examens, mais on peut légitimement douter du fait que de telles erreurs puissent se répéter de façon aussi systématique et à si grande échelle. Seulement, si vraiment le phénomène des cancers à développement brusque existe, comment l'expliquer du point de vue de la théorie classique?
  • Que penser de l'existence de cancers «en sommeil», c'est-à-dire de tumeurs inactives, composées de cellules qui ont suivi un développement cancéreux, mais qui ont cessé de se multiplier? Là encore, compte tenu du fait que les cancers sont censés suivre une croissance mécanique, leur présence dans l'organisme semble tout à fait inexplicable. Pourtant, on sait parfaitement qu'elles existent, et que des personnes peuvent vivre normalement pendant des années en dépit de la présence dans leur corps d'énormes tumeurs dormantes.
  • Enfin, le dernier point, et non le moindre, à expliquer, est évidemment celui de la rémission spontanée du cancer. La médecine conventionnelle postule que la loi qui dirige le cancer est celle de l'expansion systématique et que, une fois déclaré, un cancer continue à se développer sans retour en arrière. Or on sait parfaitement qu'il existe depuis longtemps des cas de guérisons spontanées, obtenues en l'absence de tout traitement médical. Comment expliquer qu'un cancer puisse disparaître naturellement, si vraiment il s'agit d'un processus totalement mécanique et irréversible?

Mis bout à bout, tous ces «phénomènes parasites» remettent en cause le modèle appliqué par la science dite «classique» et démontrent que,contrairement aux apparences, cette affection semble suivre une logique différente que celle que lui prête la médecine institutionnelle.

Les cancérologues, à l'image des médecins en général, tendent à considérer le corps comme le produit d'un strict déterminisme biochimique, ce qui les amène à laisser de côté un certain nombre de phénomènes pourtant essentiels dans la pathologie du cancer. Postulant que l'organisme se réduit, en dernière analyse, à l'ensemble des actions et réactions chimiques observables expérimentalement, ils en déduisent que le développement des maladies est consécutif à une insuffisance quelconque du système immunitaire, qui, pour des raisons contingentes (fatigue ou stress de l'organisme, incapacité à répondre à la virulence d'un virus ou d'une bactérie) ou fonctionnelles (prédispositions génétiques), n'arrive plus à faire son travail.

Cependant, tout le problème, c'est que le concept de «biochimie» que les cancérologues utilisent comme ciment dans leurs modèles ne renvoie évidemment pas à une entité existant réellement et agissant pour son compte propre, mais à un ensemble de processus qui dépendent en grande partie du système nerveux central, c'est-à-dire du cerveau. Or le cerveau, en tant qu'il régule les fonctions conscientes et inconscientes de l'organisme, est le siège du psychisme, qui peut donc être considéré comme l'acteur de toutes les modifications biochimiques du corps. Aussi, s'il est certain que la biochimie «contrôle» le corps et le psychisme, on peut tout aussi bien dire que la biochimie est elle-même «contrôlée» par le psychisme.

De ce point de vue, ce qui caractérise véritablement la médecine actuelle, c'est que, bien qu'elle reconnaisse le rôle joué par le cerveau, elle part du principe que c'est le corps qui détermine l'esprit, et que, par conséquent, l'esprit humain n'est qu'un «symptôme» du fonctionnement du cerveau.

La médecine psychosomatique, pour sa part, reconnaît à la fois l'existence du corps et de l'esprit, et considère que le cerveau joue en réalité un rôle de transmetteur dans les deux sens, ce qui permet à l'esprit d'agir sur le corps, et au corps d'agir sur l'esprit.

C'est en cela que l'approche dite «holistique» en médecine, qui envisage l'être humain comme un tout, se révèle incomparablement plus efficace que l'approche biochimique, qui, en réduisant les phénomènes qu'elle étudie à un schéma déterministe strict, évacue purement et simplement une partie d'entre eux hors de son champ de compréhension. Et, pour peu que l'on considère cette approche totale, on se rend compte que, loin d'être une sorte de mode de détermination plus vague et plus subjective, la compréhension holistique est en réalité beaucoup plus précise et efficace.


Boris Syrbey


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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 23:17

La Cure de tous les cancers avancés

 

Après la parution, dans la francophonie, du livre "La Cure de tous les cancers" en français, le livre du Docteur Hulda Clark "The Cure for all the advanced cancers", depuis sa parution en langue anglaise, n'était disponible qu'en édition originale anglaise.

 

Depuis peu, l'ouvrage  "La Cure de tous les cancers avancés", éditée au Togo par les éditions Cité de Lomé, est maintenant également disponible en français.

 

Certainement, cette édition française était, depuis longtemps, par beaucoup, attendue. En effet, bien que confirmant ce qui était déjà dit dans "La Cure de tous les cancers" Hulda Clark va encore plus loin dans cette nouvelle édition qui permet aussi à ceux qui sont déjà bien avancés dans la maladie de retrouver l'espoir...

 

En effet, en page 4 de couverture, la Doctoresse Hulda Clark déclare:

"Le cancer peut maintenant être guéri. Pas seulement les premiers stades de la maladie mais aussi les cancers avancés, les stades 4 et 5 de la maladie, incluant la mort imminente.

Nous ne sommes pas habitués à penser à une guérison. Nous pensons qu'une rémission est la seule possibilité. Mais ce livre ne parle pas de rémission. Il parle de guérison. C'est possible parce que la véritable cause du cancer a été découverte."

 

L'ouvrage est présenté et commandable sur cette page.

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26 novembre 2012 1 26 /11 /novembre /2012 18:08

 

Guérison ou rémission?

Par la Doctoresse Hulda Clark

 
Une fois que le cancer vous a été diagnostiqué, le premier pas à faire c’est de vous transférer ailleurs. Sans cela, il n’y aura aucune possibilité de le guérir de façon permanente. Un traitement clinique ou alternatif peut, tout d’abord, vous procurer un rapide succès, ainsi que le ferait n’importe quel sparadrap sur une blessure douloureuse, mais pas une guérison permanente, uniquement une rémission.

Naturellement, vous devrez vous installer dans une zone où l’eau qui arrive à votre robinet est correctement désinfectée. À partir du moment où vous vous déplacez vers une telle zone, les masses pré-cancéreuses et les toutes premières tumeurs probablement se résoudront d'elles-mêmes.

Mais lorsque vous vous êtes installé(e) dans une zone sûre, est-ce que vous (qui avez déjà un cancer diagnostiqué) pourrez guérir de façon permanenteCeci dépendra du fait que vous éliminiez de votre corps les 5 toxines particulières qui détruisent votre système immunitaire.

Ingérer des substances qui renforcent la capacité immunitaire, vous aidera très peu et seulement pour très peu de temps: c'est uniquement en éliminant les toxines de votre corps que votre capacité immunitaire sera rétablie.

Par chance vous avez trouvé une façon pour toutes les éliminer du corps en environ 3 semaines. Notre corps est une merveilleuse machine vivanteUne fois que vous l'aurez libéré de ses 5 pires ennemis et que vous le nourrirez avec certains intégrateurs fondamentaux, il vous récompensera avec la guérison.

Les substances «magiques» sont: le germanium organique, le sélénium organique et la vitamine C organique. Ensuite nous parlerons encore de ces produits.

L'on pourrait imaginer que filtrer l’eau, la distiller ou la traiter de façon qu’elle se purifie, ce soit suffisant pour la nettoyer et éliminer ces 5 catégories de toxines. L'on pourrait croire qu'emmener à la maison de l’eau propre à boire et pour cuisiner puisse être suffisant. NON! ÇA NE L’EST PAS! Tous les patients qui ont essayé l'une de ces échappatoires ont eu une récidive du cancer. Au début, leur santé a seulement décliné, mais, plus tard, le cancer s’est à nouveau manifesté.

Sauvegardez votre premier succès (soit que vous l’ayez obtenu en utilisant des moyens naturels ou les moyens cliniques habituels), car vous ne pourrez pas changer la politique du département des eaux ou les habitudes des personnes: donc déménagezLorsque vous aurez trouvé de l’eau bonne dans un autre secteur ou quartier, changer immédiatement de maisonL’eau que vous buvez se substitue à toute l’eau déjà présente dans votre corps en deux jours! C’est un processus beaucoup plus rapide que celui de la nourriture assimilée. Ne tardez pas! Ceci est la partie de la cure la plus significative et la plus rapidement efficace. En 3 semaines vous pourrez être une personne complètement différente.

Quelle garantie avez-vous que dans la zone où vous vous êtes installé(e), l’eau restera bonne? Aucune! Mais, normalement les habitudes de comportement (responsable ou irresponsable) sont fixées et restent consolidées. En 5 ans j’ai vu seulement 3 cas où le département des eaux a changé sa politique de désinfection de l’eau.

Lorsque votre capacité immunitaire s’affaiblit, le nombre et la diversité de parasites augmentent, et en même temps aussi le nombre et la diversité des bactéries et des virus augmentent. Les parasites amènent leurs propres virus, (et certains d’entre eux sont des oncovirus, soit des virus qui causent le cancer), qui, à leur tour, amènent leurs propres bactéries. Les parasites ne sont pas nouvellement-arrivés chez les êtres humains. Nous les avons depuis des milliers d’années. Ils nous ont été transmis par les rats, les poulets, les lapins, les vaches, les chevaux, les chiens et tous les animaux avec qui nous avons vécu pendant toutes ces années. En théorie, nous ne devrions pas attraper les parasites des animaux. Mais en conditions immuno-dépressives nous les attrapons.

La perte de la capacité immunitaire advient par étapes; tout d’abord elle frappe les reins, ensuite l’organe qui a la tumeur. Plus tard, nous verrons pourquoi la tumeur «choisit» de s’installer exactement dans un organe. Sans la capacité immunitaire dans un organe particulier, la «manutention et le nettoyage de la maison» ne se font plus: les métaux et les solvants amenés par l’eau désinfectée avec l’eau de javel toxique ne sont plus éliminés. Ni les azocolorants ni les minuscules éclats de asbeste. Aussi le chlore s’accumule-t-il sous forme d'hypochlorite. Soit les métaux soit le chlore sont des oxydants très forts. Toute la zone s’oxyde excessivement à cause des métaux et du chlore qui y sont accumulés. Pour le corps cette zone devient une décharge, remplie d’envahisseurs vivants. À la fin il ne reste plus rien du sélénium organique, du germanium organique et de la vitamine C réduite que les globules blancs puissent utiliser pour défendre l’organe: toutes ces substances ont été oxydées et maintenant elles sont inutilisables et même toxiques.

Un endommagement immunitaire ultérieur proviendra des PCB et du benzène accumulés à cet endroit. À la fin, pendant que le fer oxydé se forme et s’accumule, la zone toxique vire et se transforme en zone ayant une polarité Sud. Ceci est surtout dû au nickel, l'un des métaux lourds que la personne boit. Le fer oxydé en ferrite (Fe2O3) a une polarisation Sud. C’est le nickel qui peut oxyder le fer présent dans le corps et démarrer ce processus pathologique. Et il se diffusera toujours plus.

Plus tard nous discuterons au sujet de ce que signifie la polarisation magnétique. Pendant ce temps, nous pouvons noter que l’accumulation de toxines et de parasites est toujours plus rapide. Plus les toxines s’accumulent en baissant votre immunité, plus les parasites et les pathogènes (bactéries mauvaises et virus) s'accroissent.

Au fur et à mesure que les envahisseurs augmentent en nombre, l’organe tombe de plus en plus malade, en laissant entrer une quantité majeure de toxines. Les premiers à en souffrir sont les reins. Y aura-t-il une limite? Le corps peut-il se protéger avant d’être complètement envahi et ainsi éviter de se transformer en une décharge d’ordures systématique? Le corps entoure-t-il la tumeur dans un épais enveloppement afin de limiter cette invasion? Pourquoi ne savons-nous pas tout cela?

Avec un système immunitaire paralysé dans la zone de la tumeur, où beaucoup de substances non désirées se sont accumulées, la seule solution pour le corps est de recourir à la détoxication. Pour un organe ou un tissu de petite dimension, cela sera une tâche très difficile à faire. Les grands organes tels que le foie ou les reins ont été spécialement conçus pour ça. Par contre, un organe plus petit se confiera à ses globules blancs (système immunitaire) pour manger la majorité des toxines ou des ennemis qui arrivent. La détoxification ne tue pas les parasites, les bactéries et les virus; elle agit seulement comme action chimique qui détoxique; par contre le système immunitaire pourrait faire les deux choses.

L’accumulation des métaux lourds dans la zone de la tumeur a laissé cette zone dans un état oxydé.

Normalement le métabolisme du corps oscille entre l’état oxydé et l’état réduit. Il le fait continuellement pour produire l’énergie dont il a besoin pour les processus vitaux. Il ne doit jamais se bloquer dans l'un des deux états.

L'une des méthodes que nous utiliserons pour aider le corps à se libérer de sa position bloquée est l’action qui réduit, qui contrebalance l’oxydation excessive.

Mais, arrêtons-nous un instant. Est-ce que la nourriture, la nourriture commune, n’est pas le réducteur fait exprès pour cela? N’est-elle pas faite pour réduire l’état oxydé à un état non oxydé? Pourquoi notre métabolisme n’arrive-t-il donc pas à se débloquer de l’excès d’oxydation du fer de ses conséquences magnétiques? Est-ce qu’il nous manque des facteurs essentiels rendant tout cela possible? Ces facteurs ont-ils été détruits par l’accumulation toxique? Nous ne le savons pas encore.

Pendant ce temps nous utiliserons la vitamine C et les composants soufrés, qui sont les traditionnels intégrateurs qui réduisent. C’est ce qui nous aidera le plus à rendre possible le fait que la réduction du fer soit de nouveau cyclique, comme, en effet, elle devrait l'être. Ceci corrigera la polarité magnétique des endroits tumoraux et des reins. L’alternance cyclique des deux polarités redeviendra ainsi automatique.

 

(Passage de: "The Prevention of all Cancers", pages 17-20; Copyright)

 

Source: Comment le système immunitaire s'affaiblit.

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14 janvier 2012 6 14 /01 /janvier /2012 21:23

 

Des scientifiques canadiens guérissent le cancer mais - chose étrange - personne n'en prend acte...

 

Extrait de l'article original:

Scientists cure cancer, but no one takes notice


Researchers at the University of Alberta, in Edmonton, Canada have cured cancer last week, yet there is a little ripple in the news or in TV. It is a simple technique using very basic drug. The method employs dichloroacetate, which is currently used to treat metabolic disorders. So, there is no concern of side effects or about their long term effects.

This drug doesn't require a patent, so anyone can employ it widely and cheaply compared to the costly cancer drugs produced by major pharmaceutical companies."

 

Source: http://www.sott.net/articles/show/228583-Scientists-cure-cancer-but-no-one-takes-notice

 

 

Traduction:

 

"Des chercheurs canadiens ont découvert une simple cure pour {guérir} le cancer, mais les plus grandes compagnies pharmaceutiques ne sont pas intéressées.

 

Des chercheurs canadiens de l'Université d'Alberta à Edmonton, Canada, ont guéri un cancer, la semaine dernière; pourtant, il y a à peine un frémissement dans les nouvelles ou à la TV. C'est une simple technique utilisant une drogue très basique. La méthode utilise le dichloroacetate, qui est couramment utilisé pour traiter les désordres métaboliques. Ainsi, il n'y a aucun souci au sujet d'effets secondaires ou concernant des effets à long terme. 

 

Cette drogue n'exige pas de brevet, aussi n'importe qui peut l'appliquer largement et à bon marché comparé aux drogues coûteuses de cancer produites par les principales compagnies pharmaceutiques."

 

Lire à la suite ici: http://www.sott.net/articles/show/228583-Scientists-cure-cancer-but-no-one-takes-notice


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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 21:27

Comment l’alchimie m’a sauvé la vie

 

Lorsque le cancer a frappé à ma porte


Jean-Jacques Crèvecœur

 

- Extraits -


Lors de ses séminaires sur la Médecine Nouvellede vive voix Jean-Jacques Crèvecœur racontait déjà son histoire ci-dessous, comment grâce à la Médecine Nouvelle et à l'Alchimie Psychologique il a pu se guérir d'un cancer du cervelet. Il proposait même à l'assistance ne pouvant croire que ce qu'elle voit ou touche de toucher la bosse résiduelle à la base de son crâne, ce que tous ceux qui le souhaitèrent pouvaient faire.

 

Récemment, il s'est décidé à mettre son témoignage par écrit dans le cadre de l'édition d'une collection d'interpellants témoignages intitulés "Points de Bascule", dont le lien de téléchargement est fourni en bas de la page.


C'est précisément ce qu'un être a déformé qui était destiné à l'embellir. Tel est le secret de l'alchimie psychologique.


"Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant une fois le conflit résolu. Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.


En 1997, j’aurais dû mourir d’un cancer du cervelet.


Je n’ai fait aucune publicité autour de cet événement.


Si je suis en vie encore aujourd’hui pour vous le raconter, c’est parce que mon intuition m’a poussé à suivre la voie qui me semblait la plus appropriée pour ramener mon corps à l’équilibre.


Sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie et sans accompagnement médical.


Cette voie fut celle de l’alchimie psychologique, une voie que je m’efforce de suivre depuis près de trente ans, le mieux que je peux.

Mais avant de vous partager comment j’ai pu me guérir de ce cancer mortel, il m’importe de vous expliquer ce qu’est l’alchimie psychologique et comment j’en ai eu connaissance…


Des contes de fées à l’alchimie...


Ma découverte de l’alchimie s’est faite par un enchaînement de circonstances très particulier.

Nous sommes au début des années 1980. Rien dans mon univers familial ou dans mon cadre mental étroit de scientifique rationaliste ne me prédispose à m’aventurer vers les sombres rivages de l’ésotérisme et de l’occultisme… À cette période de ma vie, je suis un fervent catholique pratiquant, doté d’un esprit scientifique à la saint Thomas. Vous savez, celui qui ne croyait que ce qu’il voyait. Mon passage chez les «bons Pères Jésuites» m’avait rendu très méfiant à l’égard de ce mouvement naissant du New Age californien qui commençait à envahir la vieille Europe de ses techniques et de ses philosophies pour le moins étranges… Malgré tout, je suis déjà passionné par tout ce qui a trait à l’humain. La psychologie, les relations humaines, les rêves, l’inconscient, tout cela me fascine sans que j’y comprenne grand-chose.


Mon premier contact avec la psychologie, c’est à Bruno Bettelheim que je le dois, à travers son livre «La psychanalyse des contes de fées». Une porte s’entrouvre devant moi: ainsi donc, les contes de fées recèleraient des messages codés que seuls nos inconscients seraient capables de comprendre et d’intégrer pour évoluer et passer les étapes de développement que nous avons à franchir!? Ouah!!! Quelle découverte! Je prends conscience à ce moment de la richesse de ces traditions orales qui se perdent dans la nuit des temps. En même temps, une question reste sans réponse pour moi: qui a conçu le premier ces histoires? À quelle tradition ces contes pour enfants se rattachent-ils? Quel courant philosophique avait eu assez de génie pour coder, à la manière d’un rêve éveillé et dirigé, ce dont l’enfant avait besoin pour grandir psychiquement et franchir les différentes épreuves initiatiques nécessaires à sa croissance?


Ces questions resteront sans réponses pendant plusieurs années. Bettelheim, en bon psychanalyste freudien, ne m’avait pas apporté de réponse satisfaisante. Jusqu’à ce que je me perde dans une section inconnue de la bibliothèque universitaire où j’étais étudiant: celle où il était question d’interprétation de rêves. Je découvre un auteur que 12 je ne connais pas: Étienne Perrot. Cet homme a animé pendant plusieurs années une émission hebdomadaire sur une grande chaîne de radio, au cours de laquelle il se livrait à l’interprétation d’un rêve envoyé par un auditeur pendant la semaine. Et son livre, «Les rêves et la vie», reprend la transcription des meilleurs moments de cette aventure radiophonique. Passionnant! Curieux de nature, et séduit par ce que je viens de lire, je trouve dans la bibliographie des livres étudiant la symbolique des contes de fées et rédigés par une certaine Marie-Louise von Franz. Cette fois, je découvre une vision beaucoup plus large que celle - étriquée - des Freudiens. Je découvre un univers certes rationnel mais qui reconnaît l’expérience spirituelle comme une manifestation authentique de notre dimension transcendante. Là où Freud réduisait toute expérience mystique à un simple épiphénomène issu des pulsions de vie (Eros) et de mort (Thanatos), je trouve ici un univers où les grands symboles religieux et les expériences d’extase sont reconnus en tant que phénomènes à part entière.


Ce que je ne sais pas encore, c’est que le point commun de ces deux auteurs (Perrot et von Franz) est un immense personnage, un des plus grands penseurs du vingtième siècle, un explorateur courageux de la psyché humaine et de ses profondeurs: Carl Gustav Jung. Je veux en savoir plus sur son œuvre, immense, mais par où commencer? À l’intuition, je me jette dans son autobiographie, rédigée deux ans avant sa mort: «Ma vie». Bouleversant. Depuis, j’ai relu cette biographie trois fois. Et chaque fois, je découvre de nouveaux pans d’une vie d’une richesse incroyable. C’est en lisant la vie de C.G. Jung que je lis, pour la première fois, une approche originale de l’alchimie. Pour le père de la psychologie analytique, l’alchimie est ce qui permet de faire le pont entre notre psychisme ordinaire (ce que Freud appelle le «Moi») et notre dimension spirituelle (ce que Jung nomme le «Soi» ou la «Supraconscience»).


L’alchimie psychologique, selon Carl Gustav Jung


L’hypothèse de Jung est que l’alchimie opérative - celle qui permet de transmuter les métaux vils en or - ne peut fonctionner et réussir que si l’alchimiste lui-même se transforme intérieurement.


Comme si le processus alchimique extérieur n’était, en somme, que le reflet du processus intérieur vécu par l’alchimiste tout au long de sa quête… Comme le disait si bien Hermès Trismégiste dans sa Table d’€meraude: «Tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas. Tout ce qui est à l’extérieur est comme tout ce qui est à l’intérieur…»


Donc, pour accomplir le Grand Œuvre, pour fabriquer la Pierre Philosophale, il faut impérativement que l’alchimiste réalise le Grand Œuvre sur le plan psychique et spirituel. D’ailleurs, le lieu de toutes ces transformations ne s’appelle-t-il pas le laboratoire, contraction de deux termes issus du latin, labor et orare? ["travail" et "prière"]? Le laboratoire alchimique est donc un lieu où non seulement l’on travaille (labeur), mais où l’on prie également (oratoire).


Lorsque je lis pour la première fois les réflexions de Jung par rapport à l’alchimie, dans sa dimension psychologique et spirituelle, tout se met à vibrer à l’intérieur de moi. Comme si quelque chose se réveillait en moi, ou plus précisément, comme si quelque chose se souvenait à l’intérieur de moi. En lisant Jung, toute mon âme exulte de joie! Je retrouve ma maison, je reviens chez moi. Je ne sais pas comment, mais je SAIS ce qu’est l’alchimie. Et cette certitude absolue ne m’a plus jamais quitté.


Une fois reconnecté à cette fontaine de jouvence, je n’éprouve plus le besoin d’être relié à une communauté religieuse comme l’Église. Je sais, à partir de là, que mon chemin spirituel sera une voie solitaire, un sentier qui se construit pas après pas, sans suivre les traces de qui que ce soit. Au fil de mes lectures et de mes expériences, je comprends progressivement que la voie alchimique nous invite à une attitude radicalement différente de ce que ma culture et mon éducation m’ont appris. Cette attitude consiste à descendre dans la matière (cette fameuse matière première chère aux alchimistes), à descendre dans l’obscurité, dans la fange, dans le fumier de notre condition humaine pour transmuter cette lourdeur en quelque chose de lumineux et de léger. Me vient alors cette réflexion: si les alchimistes transmutaient le plomb en or, ils avaient besoin de plomb pour cette opération. Sans plomb, sans métal grossier, comment pourrait-on fabriquer de l’or?


C’est là que je commence à comprendre que notre plomb psychologique, c’est ce que nous appelons communément nos défauts, nos ombres. Ce sont toutes ces parties de nous que nous avons reléguées dans l’inconscient, que nous avons rejetées parce que nous les jugions négativement. C’est là également que je comprends combien je suis stupide de vouloir rejeter cette noirceur loin de ma réalité psychique. Car si j’ai en moi un gramme de plomb, je pourrai fabriquer au maximum un gramme d’or. Si j’ai un kilo de plomb, je peux obtenir jusqu’à un kilo d’or. Si j’ai une tonne de plomb, imaginez l’immensité de ma richesse potentielle!


À partir de cette rencontre avec l’alchimie, ma vision du monde, de la vie et de l’être humain change radicalement. Il n’y a plus rien de positif et de négatif. Il existe simplement un continuum de réalités dont certaines vibrent moins rapidement et d’autres plus rapidement. Un peu comme si le spectre de nos caractéristiques (qu’on nomme habituellement défauts et qualités) était semblable au spectre de la lumière visible. Il est évident que le rouge est très différent du violet, il est évident que la fréquence du rouge est inférieure à celle du violet. Pourtant, il ne viendrait à personne l’idée d’attribuer une connotation négative à la couleur rouge et une connotation positive à la couleur violette. Le but de la démarche alchimique c'est de réunir toutes les couleurs de l'arc-en-ciel pour réliser la lumière blanche primordiale.

 

Cette démarche de réunification, Jung l’appelle un chemin d’individuation, c’est-à-dire un chemin qui vise le centre de notre être, ce centre capable de réunir, de réunifier tout ce qui avait été épar dans notre vie. Pour Jung, l’individu, c’est un être indivisé, c’est celui qui a réussi à rassembler toutes les parties éclatées de sa personnalité, les bonnes comme les mauvaises, les lumineuses comme les ombrageuses… Le but de l’alchimie psychologique n’étant pas d’arriver à la perfection, mais à la plénitude, à la complétude!


Lorsque le cancer frappe à la porte de ma vie…


Le 2 mai 1997. Le jour de mon anniversaire. Depuis plusieurs heures, je subis un pénible interrogatoire mené par deux individus – un homme et une femme – envoyés par l’Inspection spéciale des impôts, la section la plus dangereuse et la plus vicieuse du fisc belge. Dès leur entrée dans mon bureau, j’en ai les jambes glacées, coupées. Je comprends ce que les Juifs ont dû ressentir lors des rafles de la Gestapo pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les questions se succèdent les unes après les autres, sans répit. Le dossier où ils vont chercher leur inspiration mesure sept centimètres d’épaisseur. À travers leurs questions, je découvre brutalement que j’étais sur écoute téléphonique depuis plusieurs années, que des policiers en civil ont infiltré mes conférences et mes séminaires pour compter le nombre de participants, pour relever les 15 numéros de plaques d’immatriculation, pour noter minutieusement mes propos et mes projets. Malheureusement pour eux, je leur fais la démonstration que j’ai déclaré au franc près tous mes revenus, toutes mes recettes. Le nombre de participants qu’ils ont comptés correspond à ce que j’ai déclaré. Après sept heures d’interrogatoire sans interruption, ils repartent, dépités, déçus, ne comprenant pas pourquoi leur hiérarchie leur a demandé d’enquêter sur mes activités depuis trois ans. Moi, je le sais. Depuis trois ans, je défends, corps et âme, les travaux et les découvertes du docteur Ryke Geerd Hamer, ce grand cancérologue allemand tellement critiqué par la communauté scientifique et médicale. Et ça dérange, bien entendu. Ça dérange parce que sa thèse va à contre-courant de la pensée dominante en cancérologie. Pour lui, le cancer est déclenché par un choc brutal, d’une intensité dramatique et vécu dans l’isolement émotionnel. Et il le démontre, sur plus de 6 500 dossiers de patients. Mais il va plus loin. Il démontre aussi que le cancer peut être guéri, sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie. Simplement en résolvant le sur-stress qui est à la base du cancer. Et ça, ça dérange encore plus. Car, déjà à l’époque, les traitements anticancéreux rapportent au système medico-pharmaceutique et hospitalier l’équivalent de 120 000 euros par cancer. Pour me faire taire et pour m’arrêter dans mon travail de vulgarisation scientifique au service du bien-être et de l’autonomie en santé, tous les coups sont permis depuis 1994. Je suis répertorié comme secte dangereuse (à moi tout seul!) en France, en Suisse, en Belgique. Je subis pas moins de dix contrôles gouvernementaux en trois ans: contrôles des services de la TVA, contrôles des services fiscaux, contrôles des services des charges patronales, contrôles de la médecine du travail, et j’en passe. Dix contrôles en trois ans, et pas un franc belge de redressement ou d’amende. Mais j’ignorais qu’en parallèle de toutes ces actions administratives, je faisais l’objet d’une surveillance étroite et assidue des services de police. Il a fallu attendre le jour de mon anniversaire pour découvrir brutalement cette horrible réalité.


La descente aux enfers


Bien entendu, le choix de me rendre visite le jour de mon anniversaire n’est pas innocent. Ces gens savent très bien que nous sommes plus fragiles émotionnellement à certaines dates de l’année. Chez moi, ça a marché. Après leur visite, je sombre dans une dépression et un dégoût profonds. Je suis en état de choc. Ainsi donc, je suis traité par mon gouvernement comme un grand criminel. Moi qui ai toujours voulu me mettre au service de l’autonomie et de la conscience des individus, je suis considéré comme un dangereux gourou de secte. Pendant les mois de mai et de juin, je suis paralysé. J’annule tous mes séminaires et je passe mes journées à broyer du noir. Je suis dégoûté, même écoeuré. Mais surtout, j’ai peur. Peur d’être poursuivi, peur d’être harcelé, peur d’être écouté, peur d’être arrêté et emprisonné. Je n’en parle à personne, même pas à mon entourage proche. Je rumine des idées complètement folles. Je veux disparaître d’Europe, abandonner tous mes biens, partir avec ma femme et mes trois filles sur un autre continent, en payant les billets d’avion en espèces, nous faire faire de fausses identités et ne plus jamais parler de santé, de cancer. Ne plus jamais avoir de vie publique. Disparaître pour de bon… Je me sens mourir psychiquement. Je n’ai plus aucune vitalité, plus aucune fluidité. Et j’ignore que pendant ce temps, un cancer se développe à la base de mon crâne, dans mon cervelet.


Heureusement que j’ignore cette information à ce moment-là. Car je ne suis pas certain que j’aurais été capable d’encaisser le stress lié à la découverte de cette maladie potentiellement mortelle. Un changement radical et salutaire de perspective Fin juin, une idée fulgurante traverse mon esprit. Pour la première fois en deux mois, j’y vois clair! Je prends conscience soudainement que si je mets mon projet de disparition à exécution, ceux qui veulent me faire taire auront obtenu ce qu’ils voulaient. C’est alors que ma position de vie bascule radicalement. Je décide de mener plusieurs actions extérieures et plusieurs actions intérieures, pour remettre en route mes énergies de vie. Car je me souviens à ce moment de cette phrase de Jung (encore lui): «La guérison ne commence que lorsqu’un acte est posé». Autrement dit, la prise de conscience, même si elle est nécessaire, est insuffisante pour nous guérir. Je décide d’attaquer en justice la commission parlementaire chargée de la lutte contre les sectes, pour diffamation et abus de pouvoir. J’engage un avocat féroce qui me conseille de recueillir des témoignages auprès des participants de mes séminaires. J’écris aux trois cents derniers inscrits de mes activités, et je leur demande de témoigner à propos des accusations de secte dont je fais l’objet. En trois semaines, je reçois 180 lettres de témoignages, toutes aussi réconfortantes que chaleureuses. Ces lettres me font le plus grand bien. Mon avocat et moi préparons le dossier que nous comptons déposer devant un tribunal compétent. Ça, ce sont les actions extérieures


À côté de cela, je ressens la nécessité de plonger à l’intérieur de moi pour y rencontrer mes ombres et mes obscurités. Car j’ai l’intuition que ces accusations de secte et ce harcèlement administratif permanent ne me sont pas arrivés par hasard. D’autres défendent comme moi les travaux de Hamer et ne sont ni inquiétés, ni harcelés, ni fichés comme secte. J’en viens à me dire que si j’attire à moi ces événements, c’est parce que quelque chose d’obscur et de sectaire se cache au fond de moi… Comme le disait Jung: «Tout ce que nous n’aurons pas ramené à la conscience se manifestera dans notre vie comme le destin ou la fatalité».


À partir de là, je sors de ma position de victime et je reprends la responsabilité de ces parts d’inconscient que je n’ai pas ramenées à la conscience. Et je décide d’aller à la rencontre de ce plomb qui alourdit ma vie pour tenter de le transmuter en or! Je contacte un de mes amis thérapeutes. Je lui demande d’utiliser tous les outils dont il dispose pour m’aider à identifier tous les aspects sectaires que je porte en moi. Au départ, il ne me prend pas au sérieux, s’esclaffant: «Toi, Jean-Jacques, une secte!? S’il y en a bien un qui n’a rien à voir avec une secte, c’est bien toi». Mais j’insiste. Et je lui explique le sens de ma démarche.


À l’aide d’une multitude d’outils (...), nous identifions un à un mes aspects sectaires. La démarche prendra plusieurs longues séances de trois heures, étalées sur un mois. Et effectivement, même s’ils sont invisibles, mes côtés sectaires sont bien présents… La transmutation du plomb en or et la découverte de ma guérison Ayant tous les éléments en main, je n’ai plus besoin de personne. J’ai ma matière première. Tout est prêt pour accomplir la transmutation alchimique de mes côtés 18 sectaires. Pour ce faire, je m’inspire du commentaire d’une gravure alchimique reproduite dans un livre d’Étienne Perrot: «Si tu n’acceptes pas de fouler aux pieds le fumier qui est en toi, lorsque tu voudras t’élever, tu tomberas sur la tête…» L’invitation est claire. Il s’agit pour moi de reconnaître que ce fumier existe en moi (première étape), de reconnaître que ces aspects obscurs vivent en moi et font partie de ma réalité. Mais au-delà de cette reconnaissance, il s’agit de les accepter inconditionnellement comme faisant partie de moi (deuxième étape). Et même de les aimer (troisième étape). Comme on aime tous nos enfants, même ceux qui sont moins bien portants et moins beaux. C’est ce que je fais, avec beaucoup d’intensité et d’émotion. Une à une, je reconnais mes ombres. En pensée, je les prends dans mes bras et je les serre contre moi. C’est à une danse avec mes ombres que je me livre. Ce n’est pas simple pour autant, car j’ai beaucoup de difficultés à ne pas juger certains aspects obscurs qui sont en moi. C’est là que je fais appel à plus grand que moi, à cet Amour infini qui me traverse et qui me fait être. Et je parviens finalement à faire l’amour avec mes ombres jusqu’à ce que leur état change. En faisant cela, j’accepte de ne plus être cet être immaculé, sans tache et sans défaut. Mais ce que je perds en blancheur et en perfection, je le gagne en plénitude et en humanité, en humilité aussi. Je me sens plus complet et j’accepte enfin d’assumer le côté obscur de ma personnalité…


Dès que ce processus est terminé, la chape de plomb (c’est le cas de le dire) qui pesait sur moi depuis trois mois disparaît, instantanément. Je retrouve le calme, la paix, la sérénité. Je ressens cet air cristallin caractéristique de ce qui suit l’orage: vibrant, subtil, léger. À nouveau, j’ai envie de vivre, d’enseigner, d’animer des conférences et des séminaires, d’écrire. À nouveau, j’ai envie de me mettre au service de l’autonomie et de la santé, mais avec une conscience nouvelle, encore plus aiguisée des pièges qui nous guettent sur notre chemin.


Trois semaines plus tard, ma coiffeuse découvre une boule de deux centimètres de diamètre à la base de mon crâne. Elle me fait remarquer que cette boule n’était pas présente, un mois plus tôt. C’est alors que je comprends ce qui s’est joué à mon insu dans ma physiologie. Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant, une fois le conflit résolu.


Deux ans plus tard, je me faisais examiner par un grand connaisseur de la Médecine Nouvelle de Hamer, qui me confirmait mon analyse. Un cancer s’était bien développé dans mon cervelet au moment où j’avais découvert brutalement que j’étais surveillé et poursuivi… Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.


Voyage au centre de Soi-même


Comme l’a montré magistralement Paulo Coelho dans son roman «L’alchimiste», la démarche alchimique est un voyage qui nous ramène au point de départ de notre quête, mais plus au centre. C’est un voyage que nous ne pouvons accomplir qu’en acceptant d’être de moins en moins armé, de moins en moins outillé. Accepter de tout perdre, à commencer par nos certitudes, nos repères et nos habitudes. Mais surtout, entrer dans une dimension où il n’y a plus ni bien ni mal, mais simplement un chemin où chaque pas nous rapproche du seul but qui importe (...). C’est un chemin solitaire, exigeant, où plus on avance, moins les repères se manifestent et moins le mental est capable de se raccrocher à ce qu’il connaît. Un chemin où l’on se dépouille de tous les faux semblants, de tous les vêtements sociaux que l’on a interposés entre nous-mêmes et notre centre. Un chemin où l’on se présente nu sous le regard de la Vie, sans arme et sans défense, mais avec la foi que quelque chose de plus grand que nous guide notre vie, à travers les rêves, les signes et les synchronicités. Cet événement, comme bien d’autres dans mon existence, m’a montré à quel point ce n’est pas le combat et la lutte contre la maladie qui nous sauvent la vie, mais bien la reconnaissance, l’accueil et l’amour inconditionnel de ce qui est… En cela, je peux dire que l’alchimie m’a vraiment sauvé la vie!"


Télécharger le fascicule complet d'où est extrait le témoignage de Jean-Jacques Crèvecœur:


http://coopedition.com/le-point-de-bascule 


http://coopedition.com/wp-content/uploads/2011/12/CP-EBOOK24-12.pdf

 

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 21:40
Cancer d’un proche, que faire?

Je reçois souvent des appels téléphoniques, des lettres ou des mails de personnes touchées par le cancer d’un membre de leur famille ou d’un ami proche. Avec beaucoup de sympathie, ces personnes voudraient aider le malade à guérir. Encore faut-il le faire avec respect, en tenant compte des éléments suivants:

1. Avant de bousculer le malade en lui assénant vos idées sur la question, soyez à l’écoute. Demandez-lui comment il voit sa situation, quelles sont ses croyances, ses idées, ses espoirs; ne vous mettez pas en position de vouloir lui imposer vos points de vue!

2. Informez-vous sur le sujet. Lisez des livres-phares pour comprendre ce qu’est le cancer, pourquoi il survient et quel est son message sur le plan physique, émotionnel, mental et spirituel.

Voici quelques titres pouvant vous aider:

Le cancer apprivoisé de Léon Renard: une synthèse des travaux de biologie totale et de la nouvelle médecine du docteur Hamer.

Transformez votre vie de Louise Hay: une américaine se guérit et comprend l’influence des pensées sur notre corps.

L’amour, la médecine et les miracles du docteur Bernie Siegel. Quand un chirurgien découvre les «patients exceptionnels», ceux qui guérissent!

Guérir envers et contre tout du docteur Simonton. Les prodiges de la visualisation pour se guérir.

Tout peut être guéri de Martin Brofman. Se guérir en changeant ses croyances et en travaillant sur sa conscience.

Artisans de leur guérison du docteur Christian Tal Schaller. 17 récits extraordinaires de personnes ayant suivi l’approche holistique.

Anticancer du docteur David Servan-Schreiber. L’auteur du bestseller Guérir décrit comment il s’est guéri lui-même d’un cancer.

Prévenir et vaincre le cancer du docteur Jean-Pierre Willem. Par le fondateur de «Médecins aux pieds nus», un pionnier de l’ethnomédecine.

Guérir définitivement du cancer par le docteur Henri Joyeux. Un professeur de médecine s’ouvre à une vision globale du cancer.

- Retrouver ses ailes: Guérir et s’épanouir par la biologie totale de Johann Warren. Comment les conflits psychiques se transforment en maladies.

- Racines familiales de la "mal a dit" par Gérard Athias. Les racines de nos maladies explorées en profondeur.

-Décodage biologique des maladies par Christian Flèche. Les ressources de la «biologie totale».

Le cancer par le docteur André Gernez. Un médecin français précurseur comprend les lois biologiques de la formation des cancers.

Le rapport Campbell par le professeur Colin Campbell. La plus vaste étude jamais réalisée sur les rapports entre l’alimentation et les maladies.

- Prenez votre santé en mains par Michel Dogna. Un grand naturopathe montre les chemins de la guérison.

Vivre le cancer du sein autrement par le docteur Thierry Janssen. Un message d’espoir, par un médecin belge auteur de nombreux bestsellers.

Cette liste n’est, bien sûr, pas exhaustive!

Mais une fois que vous aurez intégré quelques notions de base sur le sujet, allez vers votre ami ou votre parent et parlez-lui délicatement de vos recherches. «J’ai lu que… qu’en penses-tu?» Soyez très attentif à ne pas jouer les missionnaires en défendant avec ferveur et passion votre opinion personnelle mais sentez comment il réagit aux idées que vous proposez si elles diffèrent du schéma classique: «Je n’y peux rien, je suis une victime malchanceuse. Je ne suis pas responsable de cette « tuile qui me tombe par hasard sur la tête ». Je ne veux qu’une chose, qu’on détruise cette tumeur au plus vite pour que je puisse reprendre ma vie habituelle».

Voyez comment ce malade réagit au discours «La maladie est une occasion d’apprendre à me guérir et à gérer ma santé». Si vous sentez qu’il est ouvert aux approches non conventionnelles, orientez-le vers des lectures, des centres ou des thérapeutes holistiques. Si vous voyez qu’il est réfractaire à toute idée de démarche personnelle, ne forcez pas sa porte, respectez ses choix. Tout au plus, glissez-lui un livre qui vous a touché, sans dire «C’est un livre formidable, tu dois absolument le lire!» mais en disant «J’aimerais bien savoir ce que tu en penses…» et s’il n’en reparle plus n’insistez pas, même si cela vous demande un gros effort. Ne détruisez pas une relation d’amitié parce que vous voulez montrer vos brillantes connaissances sur la question et obliger votre proche à se guérir malgré lui!

3. N’hésitez pas à oser parler de la mort en lui demandant ce qu’elle signifie pour lui et comment il l’envisage. Si vous sentez qu’il est réceptif parlez-lui des quatre corps de l’être humain et du fait que seul le corps physique meurt. De cette façon vous l’aiderez à se délivrer de la peur de mourir et à ouvrir un dialogue en profondeur sur le sens de la vie sur terre et dans l’au-delà.

4. Si vous avez des émotions face à sa situation, ne les déversez pas sur lui mais sortez un moment afin de vous secouer, de vous étirer, de lâcher vos émotions par des gestes et des sons. Laissez partir votre peur, votre colère, votre révolte, votre tristesse puis reliez-vous à l’Amour, à la Vie, à Dieu et laissez couler à travers vous ces forces lumineuses.

5. Laissez-vous guider par votre intuition pour trouver mes mots justes, les mots du cœur. Parlez «d’âme à âme» en imaginant votre corps de lumière connecté à celui de l’autre afin d’être inspiré pour dire au malade ce qui va l’aider à avancer sur son chemin de conscience.

6. Remerciez l’univers de vous donner cette occasion d’apprendre à aider votre proche d’une manière qui soit attentive à ses besoins profonds, dans l’amitié, le respect et le soutien.


Source: 
http://www.santeglobale.info/tal/Cancer-d-un-proche-que-faire.html

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