12 mars 2020 4 12 /03 /mars /2020 15:35

 

Un ancien médecin, radié de l'ordre, Julien Drouin, a étudié ce que l'on appelle les "rémissions spontanées" du cancer et affirme que de telles rémissions spontanées peuvent aussi être provoquées.

C'est l'objet de son enseignement en ligne:

 

Rémissions spontanées du cancer

Les expliquer

Les provoquer

8 conseils du Dr Julien Drouin quant à l'attitude à avoir face au cancer.

Interview du psychothérapeute Dr Julien Drouin

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23 octobre 2019 3 23 /10 /octobre /2019 16:23

Découvrir les rémissions "spontanées"

 (Certaines rémissions dites "spontanées" dont, en fait, "provoquées"!)

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 21:27

Comment l’alchimie m’a sauvé la vie

 

Lorsque le cancer a frappé à ma porte


Jean-Jacques Crèvecœur

 

- Extraits -


Lors de ses séminaires sur la Médecine Nouvellede vive voix Jean-Jacques Crèvecœur racontait déjà son histoire ci-dessous, comment grâce à la Médecine Nouvelle et à l'Alchimie Psychologique il a pu se guérir d'un cancer du cervelet. Il proposait même à l'assistance ne pouvant croire que ce qu'elle voit ou touche de toucher la bosse résiduelle à la base de son crâne, ce que tous ceux qui le souhaitèrent pouvaient faire.

 

Récemment, il s'est décidé à mettre son témoignage par écrit dans le cadre de l'édition d'une collection d'interpellants témoignages intitulés "Points de Bascule", dont le lien de téléchargement est fourni en bas de la page.


C'est précisément ce qu'un être a déformé qui était destiné à l'embellir. Tel est le secret de l'alchimie psychologique.


"Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant une fois le conflit résolu. Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.


En 1997, j’aurais dû mourir d’un cancer du cervelet.


Je n’ai fait aucune publicité autour de cet événement.


Si je suis en vie encore aujourd’hui pour vous le raconter, c’est parce que mon intuition m’a poussé à suivre la voie qui me semblait la plus appropriée pour ramener mon corps à l’équilibre.


Sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie et sans accompagnement médical.


Cette voie fut celle de l’alchimie psychologique, une voie que je m’efforce de suivre depuis près de trente ans, le mieux que je peux.

Mais avant de vous partager comment j’ai pu me guérir de ce cancer mortel, il m’importe de vous expliquer ce qu’est l’alchimie psychologique et comment j’en ai eu connaissance…


Des contes de fées à l’alchimie...


Ma découverte de l’alchimie s’est faite par un enchaînement de circonstances très particulier.

Nous sommes au début des années 1980. Rien dans mon univers familial ou dans mon cadre mental étroit de scientifique rationaliste ne me prédispose à m’aventurer vers les sombres rivages de l’ésotérisme et de l’occultisme… À cette période de ma vie, je suis un fervent catholique pratiquant, doté d’un esprit scientifique à la saint Thomas. Vous savez, celui qui ne croyait que ce qu’il voyait. Mon passage chez les «bons Pères Jésuites» m’avait rendu très méfiant à l’égard de ce mouvement naissant du New Age californien qui commençait à envahir la vieille Europe de ses techniques et de ses philosophies pour le moins étranges… Malgré tout, je suis déjà passionné par tout ce qui a trait à l’humain. La psychologie, les relations humaines, les rêves, l’inconscient, tout cela me fascine sans que j’y comprenne grand-chose.


Mon premier contact avec la psychologie, c’est à Bruno Bettelheim que je le dois, à travers son livre «La psychanalyse des contes de fées». Une porte s’entrouvre devant moi: ainsi donc, les contes de fées recèleraient des messages codés que seuls nos inconscients seraient capables de comprendre et d’intégrer pour évoluer et passer les étapes de développement que nous avons à franchir!? Ouah!!! Quelle découverte! Je prends conscience à ce moment de la richesse de ces traditions orales qui se perdent dans la nuit des temps. En même temps, une question reste sans réponse pour moi: qui a conçu le premier ces histoires? À quelle tradition ces contes pour enfants se rattachent-ils? Quel courant philosophique avait eu assez de génie pour coder, à la manière d’un rêve éveillé et dirigé, ce dont l’enfant avait besoin pour grandir psychiquement et franchir les différentes épreuves initiatiques nécessaires à sa croissance?


Ces questions resteront sans réponses pendant plusieurs années. Bettelheim, en bon psychanalyste freudien, ne m’avait pas apporté de réponse satisfaisante. Jusqu’à ce que je me perde dans une section inconnue de la bibliothèque universitaire où j’étais étudiant: celle où il était question d’interprétation de rêves. Je découvre un auteur que 12 je ne connais pas: Étienne Perrot. Cet homme a animé pendant plusieurs années une émission hebdomadaire sur une grande chaîne de radio, au cours de laquelle il se livrait à l’interprétation d’un rêve envoyé par un auditeur pendant la semaine. Et son livre, «Les rêves et la vie», reprend la transcription des meilleurs moments de cette aventure radiophonique. Passionnant! Curieux de nature, et séduit par ce que je viens de lire, je trouve dans la bibliographie des livres étudiant la symbolique des contes de fées et rédigés par une certaine Marie-Louise von Franz. Cette fois, je découvre une vision beaucoup plus large que celle - étriquée - des Freudiens. Je découvre un univers certes rationnel mais qui reconnaît l’expérience spirituelle comme une manifestation authentique de notre dimension transcendante. Là où Freud réduisait toute expérience mystique à un simple épiphénomène issu des pulsions de vie (Eros) et de mort (Thanatos), je trouve ici un univers où les grands symboles religieux et les expériences d’extase sont reconnus en tant que phénomènes à part entière.


Ce que je ne sais pas encore, c’est que le point commun de ces deux auteurs (Perrot et von Franz) est un immense personnage, un des plus grands penseurs du vingtième siècle, un explorateur courageux de la psyché humaine et de ses profondeurs: Carl Gustav Jung. Je veux en savoir plus sur son œuvre, immense, mais par où commencer? À l’intuition, je me jette dans son autobiographie, rédigée deux ans avant sa mort: «Ma vie». Bouleversant. Depuis, j’ai relu cette biographie trois fois. Et chaque fois, je découvre de nouveaux pans d’une vie d’une richesse incroyable. C’est en lisant la vie de C.G. Jung que je lis, pour la première fois, une approche originale de l’alchimie. Pour le père de la psychologie analytique, l’alchimie est ce qui permet de faire le pont entre notre psychisme ordinaire (ce que Freud appelle le «Moi») et notre dimension spirituelle (ce que Jung nomme le «Soi» ou la «Supraconscience»).


L’alchimie psychologique, selon Carl Gustav Jung


L’hypothèse de Jung est que l’alchimie opérative - celle qui permet de transmuter les métaux vils en or - ne peut fonctionner et réussir que si l’alchimiste lui-même se transforme intérieurement.


Comme si le processus alchimique extérieur n’était, en somme, que le reflet du processus intérieur vécu par l’alchimiste tout au long de sa quête… Comme le disait si bien Hermès Trismégiste dans sa Table d’€meraude: «Tout ce qui est en haut est comme tout ce qui est en bas. Tout ce qui est à l’extérieur est comme tout ce qui est à l’intérieur…»


Donc, pour accomplir le Grand Œuvre, pour fabriquer la Pierre Philosophale, il faut impérativement que l’alchimiste réalise le Grand Œuvre sur le plan psychique et spirituel. D’ailleurs, le lieu de toutes ces transformations ne s’appelle-t-il pas le laboratoire, contraction de deux termes issus du latin, labor et orare? ["travail" et "prière"]? Le laboratoire alchimique est donc un lieu où non seulement l’on travaille (labeur), mais où l’on prie également (oratoire).


Lorsque je lis pour la première fois les réflexions de Jung par rapport à l’alchimie, dans sa dimension psychologique et spirituelle, tout se met à vibrer à l’intérieur de moi. Comme si quelque chose se réveillait en moi, ou plus précisément, comme si quelque chose se souvenait à l’intérieur de moi. En lisant Jung, toute mon âme exulte de joie! Je retrouve ma maison, je reviens chez moi. Je ne sais pas comment, mais je SAIS ce qu’est l’alchimie. Et cette certitude absolue ne m’a plus jamais quitté.


Une fois reconnecté à cette fontaine de jouvence, je n’éprouve plus le besoin d’être relié à une communauté religieuse comme l’Église. Je sais, à partir de là, que mon chemin spirituel sera une voie solitaire, un sentier qui se construit pas après pas, sans suivre les traces de qui que ce soit. Au fil de mes lectures et de mes expériences, je comprends progressivement que la voie alchimique nous invite à une attitude radicalement différente de ce que ma culture et mon éducation m’ont appris. Cette attitude consiste à descendre dans la matière (cette fameuse matière première chère aux alchimistes), à descendre dans l’obscurité, dans la fange, dans le fumier de notre condition humaine pour transmuter cette lourdeur en quelque chose de lumineux et de léger. Me vient alors cette réflexion: si les alchimistes transmutaient le plomb en or, ils avaient besoin de plomb pour cette opération. Sans plomb, sans métal grossier, comment pourrait-on fabriquer de l’or?


C’est là que je commence à comprendre que notre plomb psychologique, c’est ce que nous appelons communément nos défauts, nos ombres. Ce sont toutes ces parties de nous que nous avons reléguées dans l’inconscient, que nous avons rejetées parce que nous les jugions négativement. C’est là également que je comprends combien je suis stupide de vouloir rejeter cette noirceur loin de ma réalité psychique. Car si j’ai en moi un gramme de plomb, je pourrai fabriquer au maximum un gramme d’or. Si j’ai un kilo de plomb, je peux obtenir jusqu’à un kilo d’or. Si j’ai une tonne de plomb, imaginez l’immensité de ma richesse potentielle!


À partir de cette rencontre avec l’alchimie, ma vision du monde, de la vie et de l’être humain change radicalement. Il n’y a plus rien de positif et de négatif. Il existe simplement un continuum de réalités dont certaines vibrent moins rapidement et d’autres plus rapidement. Un peu comme si le spectre de nos caractéristiques (qu’on nomme habituellement défauts et qualités) était semblable au spectre de la lumière visible. Il est évident que le rouge est très différent du violet, il est évident que la fréquence du rouge est inférieure à celle du violet. Pourtant, il ne viendrait à personne l’idée d’attribuer une connotation négative à la couleur rouge et une connotation positive à la couleur violette. Le but de la démarche alchimique c'est de réunir toutes les couleurs de l'arc-en-ciel pour réliser la lumière blanche primordiale.

 

Cette démarche de réunification, Jung l’appelle un chemin d’individuation, c’est-à-dire un chemin qui vise le centre de notre être, ce centre capable de réunir, de réunifier tout ce qui avait été épar dans notre vie. Pour Jung, l’individu, c’est un être indivisé, c’est celui qui a réussi à rassembler toutes les parties éclatées de sa personnalité, les bonnes comme les mauvaises, les lumineuses comme les ombrageuses… Le but de l’alchimie psychologique n’étant pas d’arriver à la perfection, mais à la plénitude, à la complétude!


Lorsque le cancer frappe à la porte de ma vie…


Le 2 mai 1997. Le jour de mon anniversaire. Depuis plusieurs heures, je subis un pénible interrogatoire mené par deux individus – un homme et une femme – envoyés par l’Inspection spéciale des impôts, la section la plus dangereuse et la plus vicieuse du fisc belge. Dès leur entrée dans mon bureau, j’en ai les jambes glacées, coupées. Je comprends ce que les Juifs ont dû ressentir lors des rafles de la Gestapo pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les questions se succèdent les unes après les autres, sans répit. Le dossier où ils vont chercher leur inspiration mesure sept centimètres d’épaisseur. À travers leurs questions, je découvre brutalement que j’étais sur écoute téléphonique depuis plusieurs années, que des policiers en civil ont infiltré mes conférences et mes séminaires pour compter le nombre de participants, pour relever les 15 numéros de plaques d’immatriculation, pour noter minutieusement mes propos et mes projets. Malheureusement pour eux, je leur fais la démonstration que j’ai déclaré au franc près tous mes revenus, toutes mes recettes. Le nombre de participants qu’ils ont comptés correspond à ce que j’ai déclaré. Après sept heures d’interrogatoire sans interruption, ils repartent, dépités, déçus, ne comprenant pas pourquoi leur hiérarchie leur a demandé d’enquêter sur mes activités depuis trois ans. Moi, je le sais. Depuis trois ans, je défends, corps et âme, les travaux et les découvertes du docteur Ryke Geerd Hamer, ce grand cancérologue allemand tellement critiqué par la communauté scientifique et médicale. Et ça dérange, bien entendu. Ça dérange parce que sa thèse va à contre-courant de la pensée dominante en cancérologie. Pour lui, le cancer est déclenché par un choc brutal, d’une intensité dramatique et vécu dans l’isolement émotionnel. Et il le démontre, sur plus de 6 500 dossiers de patients. Mais il va plus loin. Il démontre aussi que le cancer peut être guéri, sans chimiothérapie, sans radiothérapie, sans chirurgie. Simplement en résolvant le sur-stress qui est à la base du cancer. Et ça, ça dérange encore plus. Car, déjà à l’époque, les traitements anticancéreux rapportent au système medico-pharmaceutique et hospitalier l’équivalent de 120 000 euros par cancer. Pour me faire taire et pour m’arrêter dans mon travail de vulgarisation scientifique au service du bien-être et de l’autonomie en santé, tous les coups sont permis depuis 1994. Je suis répertorié comme secte dangereuse (à moi tout seul!) en France, en Suisse, en Belgique. Je subis pas moins de dix contrôles gouvernementaux en trois ans: contrôles des services de la TVA, contrôles des services fiscaux, contrôles des services des charges patronales, contrôles de la médecine du travail, et j’en passe. Dix contrôles en trois ans, et pas un franc belge de redressement ou d’amende. Mais j’ignorais qu’en parallèle de toutes ces actions administratives, je faisais l’objet d’une surveillance étroite et assidue des services de police. Il a fallu attendre le jour de mon anniversaire pour découvrir brutalement cette horrible réalité.


La descente aux enfers


Bien entendu, le choix de me rendre visite le jour de mon anniversaire n’est pas innocent. Ces gens savent très bien que nous sommes plus fragiles émotionnellement à certaines dates de l’année. Chez moi, ça a marché. Après leur visite, je sombre dans une dépression et un dégoût profonds. Je suis en état de choc. Ainsi donc, je suis traité par mon gouvernement comme un grand criminel. Moi qui ai toujours voulu me mettre au service de l’autonomie et de la conscience des individus, je suis considéré comme un dangereux gourou de secte. Pendant les mois de mai et de juin, je suis paralysé. J’annule tous mes séminaires et je passe mes journées à broyer du noir. Je suis dégoûté, même écoeuré. Mais surtout, j’ai peur. Peur d’être poursuivi, peur d’être harcelé, peur d’être écouté, peur d’être arrêté et emprisonné. Je n’en parle à personne, même pas à mon entourage proche. Je rumine des idées complètement folles. Je veux disparaître d’Europe, abandonner tous mes biens, partir avec ma femme et mes trois filles sur un autre continent, en payant les billets d’avion en espèces, nous faire faire de fausses identités et ne plus jamais parler de santé, de cancer. Ne plus jamais avoir de vie publique. Disparaître pour de bon… Je me sens mourir psychiquement. Je n’ai plus aucune vitalité, plus aucune fluidité. Et j’ignore que pendant ce temps, un cancer se développe à la base de mon crâne, dans mon cervelet.


Heureusement que j’ignore cette information à ce moment-là. Car je ne suis pas certain que j’aurais été capable d’encaisser le stress lié à la découverte de cette maladie potentiellement mortelle. Un changement radical et salutaire de perspective Fin juin, une idée fulgurante traverse mon esprit. Pour la première fois en deux mois, j’y vois clair! Je prends conscience soudainement que si je mets mon projet de disparition à exécution, ceux qui veulent me faire taire auront obtenu ce qu’ils voulaient. C’est alors que ma position de vie bascule radicalement. Je décide de mener plusieurs actions extérieures et plusieurs actions intérieures, pour remettre en route mes énergies de vie. Car je me souviens à ce moment de cette phrase de Jung (encore lui): «La guérison ne commence que lorsqu’un acte est posé». Autrement dit, la prise de conscience, même si elle est nécessaire, est insuffisante pour nous guérir. Je décide d’attaquer en justice la commission parlementaire chargée de la lutte contre les sectes, pour diffamation et abus de pouvoir. J’engage un avocat féroce qui me conseille de recueillir des témoignages auprès des participants de mes séminaires. J’écris aux trois cents derniers inscrits de mes activités, et je leur demande de témoigner à propos des accusations de secte dont je fais l’objet. En trois semaines, je reçois 180 lettres de témoignages, toutes aussi réconfortantes que chaleureuses. Ces lettres me font le plus grand bien. Mon avocat et moi préparons le dossier que nous comptons déposer devant un tribunal compétent. Ça, ce sont les actions extérieures


À côté de cela, je ressens la nécessité de plonger à l’intérieur de moi pour y rencontrer mes ombres et mes obscurités. Car j’ai l’intuition que ces accusations de secte et ce harcèlement administratif permanent ne me sont pas arrivés par hasard. D’autres défendent comme moi les travaux de Hamer et ne sont ni inquiétés, ni harcelés, ni fichés comme secte. J’en viens à me dire que si j’attire à moi ces événements, c’est parce que quelque chose d’obscur et de sectaire se cache au fond de moi… Comme le disait Jung: «Tout ce que nous n’aurons pas ramené à la conscience se manifestera dans notre vie comme le destin ou la fatalité».


À partir de là, je sors de ma position de victime et je reprends la responsabilité de ces parts d’inconscient que je n’ai pas ramenées à la conscience. Et je décide d’aller à la rencontre de ce plomb qui alourdit ma vie pour tenter de le transmuter en or! Je contacte un de mes amis thérapeutes. Je lui demande d’utiliser tous les outils dont il dispose pour m’aider à identifier tous les aspects sectaires que je porte en moi. Au départ, il ne me prend pas au sérieux, s’esclaffant: «Toi, Jean-Jacques, une secte!? S’il y en a bien un qui n’a rien à voir avec une secte, c’est bien toi». Mais j’insiste. Et je lui explique le sens de ma démarche.


À l’aide d’une multitude d’outils (...), nous identifions un à un mes aspects sectaires. La démarche prendra plusieurs longues séances de trois heures, étalées sur un mois. Et effectivement, même s’ils sont invisibles, mes côtés sectaires sont bien présents… La transmutation du plomb en or et la découverte de ma guérison Ayant tous les éléments en main, je n’ai plus besoin de personne. J’ai ma matière première. Tout est prêt pour accomplir la transmutation alchimique de mes côtés 18 sectaires. Pour ce faire, je m’inspire du commentaire d’une gravure alchimique reproduite dans un livre d’Étienne Perrot: «Si tu n’acceptes pas de fouler aux pieds le fumier qui est en toi, lorsque tu voudras t’élever, tu tomberas sur la tête…» L’invitation est claire. Il s’agit pour moi de reconnaître que ce fumier existe en moi (première étape), de reconnaître que ces aspects obscurs vivent en moi et font partie de ma réalité. Mais au-delà de cette reconnaissance, il s’agit de les accepter inconditionnellement comme faisant partie de moi (deuxième étape). Et même de les aimer (troisième étape). Comme on aime tous nos enfants, même ceux qui sont moins bien portants et moins beaux. C’est ce que je fais, avec beaucoup d’intensité et d’émotion. Une à une, je reconnais mes ombres. En pensée, je les prends dans mes bras et je les serre contre moi. C’est à une danse avec mes ombres que je me livre. Ce n’est pas simple pour autant, car j’ai beaucoup de difficultés à ne pas juger certains aspects obscurs qui sont en moi. C’est là que je fais appel à plus grand que moi, à cet Amour infini qui me traverse et qui me fait être. Et je parviens finalement à faire l’amour avec mes ombres jusqu’à ce que leur état change. En faisant cela, j’accepte de ne plus être cet être immaculé, sans tache et sans défaut. Mais ce que je perds en blancheur et en perfection, je le gagne en plénitude et en humanité, en humilité aussi. Je me sens plus complet et j’accepte enfin d’assumer le côté obscur de ma personnalité…


Dès que ce processus est terminé, la chape de plomb (c’est le cas de le dire) qui pesait sur moi depuis trois mois disparaît, instantanément. Je retrouve le calme, la paix, la sérénité. Je ressens cet air cristallin caractéristique de ce qui suit l’orage: vibrant, subtil, léger. À nouveau, j’ai envie de vivre, d’enseigner, d’animer des conférences et des séminaires, d’écrire. À nouveau, j’ai envie de me mettre au service de l’autonomie et de la santé, mais avec une conscience nouvelle, encore plus aiguisée des pièges qui nous guettent sur notre chemin.


Trois semaines plus tard, ma coiffeuse découvre une boule de deux centimètres de diamètre à la base de mon crâne. Elle me fait remarquer que cette boule n’était pas présente, un mois plus tôt. C’est alors que je comprends ce qui s’est joué à mon insu dans ma physiologie. Je comprends qu’en parallèle de mon processus psychologique, mon organisme a fabriqué une tumeur cancéreuse à la base de mon crâne, puis l’a rejetée en l’enkystant, une fois le conflit résolu.


Deux ans plus tard, je me faisais examiner par un grand connaisseur de la Médecine Nouvelle de Hamer, qui me confirmait mon analyse. Un cancer s’était bien développé dans mon cervelet au moment où j’avais découvert brutalement que j’étais surveillé et poursuivi… Et ce même cancer s’était bien guéri de lui-même lorsque j’ai reconnu, accepté et aimé non seulement l’événement extérieur déclencheur, mais aussi les parts sombres de moi qui l’avaient attiré par résonance.


Voyage au centre de Soi-même


Comme l’a montré magistralement Paulo Coelho dans son roman «L’alchimiste», la démarche alchimique est un voyage qui nous ramène au point de départ de notre quête, mais plus au centre. C’est un voyage que nous ne pouvons accomplir qu’en acceptant d’être de moins en moins armé, de moins en moins outillé. Accepter de tout perdre, à commencer par nos certitudes, nos repères et nos habitudes. Mais surtout, entrer dans une dimension où il n’y a plus ni bien ni mal, mais simplement un chemin où chaque pas nous rapproche du seul but qui importe (...). C’est un chemin solitaire, exigeant, où plus on avance, moins les repères se manifestent et moins le mental est capable de se raccrocher à ce qu’il connaît. Un chemin où l’on se dépouille de tous les faux semblants, de tous les vêtements sociaux que l’on a interposés entre nous-mêmes et notre centre. Un chemin où l’on se présente nu sous le regard de la Vie, sans arme et sans défense, mais avec la foi que quelque chose de plus grand que nous guide notre vie, à travers les rêves, les signes et les synchronicités. Cet événement, comme bien d’autres dans mon existence, m’a montré à quel point ce n’est pas le combat et la lutte contre la maladie qui nous sauvent la vie, mais bien la reconnaissance, l’accueil et l’amour inconditionnel de ce qui est… En cela, je peux dire que l’alchimie m’a vraiment sauvé la vie!"


Télécharger le fascicule complet d'où est extrait le témoignage de Jean-Jacques Crèvecœur:


http://coopedition.com/le-point-de-bascule 


http://coopedition.com/wp-content/uploads/2011/12/CP-EBOOK24-12.pdf

 

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 21:37

 

Un malade témoigne des protocoles naturels

qu'il a utilisés pour rester en vie

 

 

http://cancertemoignage.free.fr

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 20:50

 

L'Histoire d'une Réussite sur le cancer - Don Porter


''Mon Combat Contre le Cancer de la Prostate
au Stade
IV, avec Métastases''

 


''En avril 2007, j'ai été diagnostiqué avec un taux de PSA de 39.6, et les tests effectués, (y compris une biopsie) ont clairement identifié un cancer de la prostate, métastasé et au stade 4, à mon os iliaque gauche, et j'ai aussitôt reçu une "condamnation à mort" d'un médecin.

 

Beaucoup de gens m'ont contacté en me disant qu'ils voulaient savoir comment j'ai fait {pour survivre}, et Ty Bollinger m'a demandé de partager mon succès avec ses lecteurs.


Après l'overdose assez significative de la négativité médicale, je me suis concentré sur ce qu'il était possible de faire, après avoir étudié Deepak Chopra, Wayne Dyer, David Williams, Tony Robbins, Marianne Williamson, le Dr. Andrew Weil, le Dr. Julian Whitaker, Verne Varona et relire mon exemplaire de la Bible, la Confession d'un Cowboy Kamikaze par Dirk Benedict. Dirk a gagné un peu de notoriété/célébrité lors de sa participation dans 'Agence Tous Risques', 'Battlestar Gallactica', 'Drôles de Dames', etc.


J'ai fermement pris conscience que nous disposons tous d'un organisme qui est une machine miraculeuse, et qui doit être correctement aligné avec un régime alimentaire propre, avec de l'exercice de qualité, des liquides de qualité, une respiration profonde, des aliments biologiques, et tout ceci avec un minimum de stress, dans une société évoluant à un rythme RAPIDE, avec quelquefois, quelques "TLC" occasionnels.


Je me suis dirigé vers une alimentation macrobiotique stricte/d'origine végétale sur une base biologique. Je me suis embarqué sur une mission d'amélioration du bien-être, engagé dans/sur un régime macrobiotique-biologique strict, et en un peu plus de 8 semaines, suis passé de 154 livres (70kg), (@ 5'9 ", c'est à dire 1,80m), à 132 livres (60kg), j'avais perdu 22 livres (10kg).

 

J'ai aussi découvert que cela prend environ 4 mois pour changer entièrement notre sang. Par conséquent, je suis resté sur une modification de régime avec l'alimentation biologique/macrobiotique. Comme mes recherches (effectuées avec assiduité) ont indiqué que mon système immunitaire venait d'être restauré dans un état positif, j'ai continué à chercher des procédés de valorisation, des protocoles, des plantes, des herbes, des nutriments, etc.


J'ai finalement trouvé que des experts ayant utilisé le bicarbonate de soude et/ou du chlorure de césium ont connu le succès en combattant ainsi les cancers.

 

Un excellent parmi eux, est Vern (Vito) Johnston, et son protocole de "Sens Commun" est disponible sur son site internet. Mes résultats étaient presque identiques à ceux de Vern. Mon PSA était de l'ordre de 0,1 - 0,4 durant près de 10 mois, sans effets résiduels du diagnostic débilitant d'avril 2007!

 

Je suis désormais capable de prendre des déjeuners et des dîners "réguliers" à partir d'un menu proposé dans un restaurant américain normal. Je me concentre toujours sur les aliments biologiques, le riz brun, les haricots, les différents légumes verts, et l'avoine au petit déjeuner, à l'eau filtrée, à la respiration profonde, à marcher 30 minutes par jour, avec 8 heures de sommeil, sur les fruits, les graines d'abricots, les graines de chia, les baies de goji, des plantes, des herbes, un peu de vitamines spéciales, et, occasionnellement, du bicarbonate de soude.

 

Tous les efforts pratiqués avec mon alimentation rationnelle, la respiration, l'eau, les thés verts, etc. visent à maintenir une légère alcalinité.


Mon succès est dû en grande partie à l'aide considérable et aux contributions de ma femme, de Verne Varona (le meilleur conseiller en macrobiotique de la planète, & auteur de plusieurs livres de diététique, y compris son dernier - "Macrobiotique pour les Néophytes"), les livres de Michio Kushi, et de bien d'autres. Ce que j'ai accompli n'est pas dû à moi-même - Les enseignements ont été recueillis à partir de nombreuses sources et c'est à elles qu'en revient tout l'intérêt.''

 

 

Source: Newsletter - La Vérité sur le cancer - Décembre 2010

 

Livre - E.Book de Ty Bollinger: "Cancer - Sortez de la boîte!"

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 12:51

 

Témoignage de
"Réussite vis-à-vis du cancer"

 

Rudolph Cobus


Dans sa Newsletter de Septembre 2010 Ty Bollinger s'exprime: Ces dernières semaines, j'ai reçu de nombreuses demandes afin de partager quelques témoignages de gens qui ont lu mon livre, qui ont utilisé une (ou plusieurs) cures qui y sont relatées, et qui ont permis à ces personnes d’être maintenant libérées du cancer. Alors, c’est-ce qui va faire l'objet de la présente édition du bulletin ‘La Vérité sur le Cancer.

 

Commençons par Rudolph Cobus d'Afrique du Sud - Survivant du cancer.

 

 

 

 

Selon ses propres mots:


"Le 27 mars 2009, j'ai été diagnostiqué avec un cancer du côlon en phase terminale.


Au moment même où j'ai reçu le message que j'avais un cancer, j'ai entendu la «peine de mort» venir à moi. La tumeur a été enlevée, et le cancer avait métastasé jusqu’aux ganglions lymphatiques. Les médecins m'ont dit que je mourrais si je ne subissais pas une chimiothérapie. J'ai alors décidé de ne pas aller vers la chimio, car je crois que la chimio est un poison.


Dans le livre [ "Cancer, sortez de la boîte!"] de Ty [Bollinger], j'ai appris que lorsque l’on reçoit l'annonce du diagnostic de cancer, cela ne signifie PAS nécessairement qu’il s’agisse d’une PEINE DE MORT.


Ce livre m'a donné l'espoir, et il m'a encouragé à croire que le cancer ne doit pas être une condamnation à mort. Ce manuel est devenu si précieux - Je remercie Dieu pour la sagesse contenue dans ce livre

 

Avec votre courriel hebdomadaire, mon étude de  "Cancer, sortez de la boîte!" tous les jours, et ma dose quotidienne de la Parole de Dieu - JE SUIS GUERI!

 

Mon sang a été testé le 09/09/09, et le lendemain, à savoir, le vendredi 10/09/09, l'oncologue m’a dit: «Félicitations, vous êtes guéri du cancer!». Je remercie Dieu pour ma guérison. Trente et un (31) différents tests ont été effectués sur mon sang, et je suis parfaitement guéri. Plus aucun cancer ne subsiste dans mon corps!


Je tiens à remercier Dieu, pour le fait qu'Il m'ait conduit dans cette voie de ne pas prendre la chimio, mais de plutôt m’orienter vers la cure naturelle. Dieu est le Guérisseur! Il est impatient de vous guérir. Il faut juste Lui en donner l'occasion.


Je tiens à remercier Ty Bollinger pour ses encouragements et son soutien à mon égard. Presque tous les jours, Ty m’envoyait des vidéos et des courriels d'encouragement. Merci Ty."

 

Témoignage original: http://www.youtube.com/watch?v=Vi4VMqEaNys&feature=player_embedded

 

Témoignage traduit en français: http://www.youtube.com/lasantenaturelle#p/a/u/2/yxpVVQSViDM

 

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15 juin 2010 2 15 /06 /juin /2010 16:35

 

Témoignage relatif au cancer

 

Témoignage de Martine F.


J’ai 56 ans aujourd’hui et j’ai eu neuf cancers du sein 1992 à 2005, (bilatéraux) et du col de l’utérus notamment. M’intéressant beaucoup, depuis quinze ans, aux médecines douces, au début j’ai toujours essayé de me soigner par des méthodes naturelles, même si ensuite je me suis résolue aux traitements conventionnels (radiothérapie et chirurgie). Par contre, j’ai toujours refusé la chimio.


Néanmoins, malgré les traitements classiques, mes cancers récidivaient régulièrement ou de nouveaux apparaissaient, qu’il fallait, à nouveau, traiter par chirurgie, car je refusais aussi la radiothérapie, suite à la première série de séances en 1993, qui m’avait beaucoup fatiguée et brulée.


En 2006 j’étais au bord de la mort avec une tumeur au cerveau, j’avais perdu 20 kilogrammes et je commençais une trithérapie, suite à la découverte, d’une séropositivité.


En plus des traitements classiques, j’ai continué d’essayer de nombreuses thérapies naturelles dans mon parcours de santé (vit C en intraveineuse notamment, spiruline, alimentation végétarienne, graines germées, jus de fruits et de légumes frais, régime de Rudolph Breuss [jeûne hydrique avec jus de fruits et légumes], suppression totale des produits chimiques d’entretien et de nettoyage pour la maison), mais, à chaque fois, le cancer récidivait.


Néanmoins, je ne regrette pas d’avoir suivi ces soins naturels, car, une fois, juste en prenant de la spiruline à haute dose, une récidive de cancer a disparu.


En 2007/2008 j’ai fait extraire une dizaine de dents dévitalisées par un dentiste que m’avait conseillé le Docteur Bruno Darmon, car je fus convaincue par ce dernier que ce serait une bonne chose pour ma santé.


Ces dents ne me faisaient nullement mal et ne présentaient en apparence aucune infection. J’ai eu un prurit très important par la suite, sur tout le corps. Toutefois, depuis ces extractions, soit aujourd’hui en 2010, date à laquelle j’écris ce témoignage, je n’ai plus jamais eu de récidive de cancers ni aucun nouveau cancer et j’ai repris du poids et de la force.


Je tiens à dire, toutefois, que je ne suis pas absolument convaincue que mes dents dévitalisées aient pu intervenir dans la genèse de mes cancers. Je pense, néanmoins, que les plombages au mercure ont pu contribuer au problème, car j’avais des plombages sur mes dents dévitalisées.


Je me suis toujours beaucoup intéressée aux causes possibles psychologiques du cancer et, notamment, aux travaux du Dr Hamer et je suis intimement convaincue que l’une des causes fondamentales de l’apparition de mes cancers provient de chocs émotionnels subis dès l’enfance, qui ont été mal vécus et difficilement acceptés. Mon histoire personnelle, notamment familiale, est extrêmement difficile et m’a toujours énormément perturbée. Je n’ai toutefois jamais entrepris de psychothérapie de ma vie.


Fin


Martine F.


Contact: tinedumare@gmail.com

 


Note de l'auteur du blog source: Les gens qui veulent vérifier l’authenticité de ce témoignage peuvent m’envoyer un mail. S’ils veulent que je converse avec eux par téléphone je les rappellerai s’ils précisent leur numéro de téléphone fixe (je ne rappelle pas les portables) et les rencontrerai même, s’ils le désirent, pour leur confirmer de vive voix, s’ils le souhaitent, toute l’authenticité de ce témoignage.

 

Source: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=19

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 17:04

Rencontre avec Hulda Clark


September 6, 2009 on 4:45 pm

 


Rencontre avec Hulda Clark au Printemps 2007

 


Dr Hulda Clark
Hulda Clark est une naturopathe canadienne, ex-enseignante de biologie en Université, très âgée aujourd’hui (80 ans en 2009) et très connue outre-Atlantique.

(NDLR: La Doctoresse Hulda Clark est décédée le 3 Septembre 2009.)

Elle est l'auteur de plusieurs best-sellers, aux États-Unis notamment, sur une vision de la médecine très naturopathique et plus précisément orientée sur l’élimination des polluants en tous genres et la destruction des micro-organismes toxiques et des parasites.


Évidemment, elle dérange les médecins et les dentistes, car elle est aussi contre les traitements médicaux officiels, qu’elle accuse d’empoisonner les organismes, tout en proposant d’autres traitements naturels.

 

Elle a dû se réfugier au Mexique pour ne pas aller en prison pour exercice illégal de la médecine et là elle a ouvert un centre où elle reçoit des patients du monde entier en travaillant en étroite collaboration avec un dentiste, le Dr Solorio. Elle fait systématiquement enlever toutes les dents dévitalisées de ses patients.

 

 

Elle guérit toutes sortes de maladies graves dont des cancers. Mais que Hulda Clark guérisse des cancers d’une façon différente de la façon académique, alors que le cancer est un fléau mondial des pays civilisés n’intéresse, semble-t-il, pas la médecine moderne, plutôt friande de nouveaux poisons pour tuer les cellules cancéreuses.

 


Pour éliminer les parasites et autres micro-organismes toxiques, elle utilise notamment un appareil qu’elle a mis au point, le Zappeur. C’est un petit appareil électronique qui envoie dans le corps des hyperfréquences qui font exploser les micro-organismes et parasites en tous genres. C’est en quelque sorte un antibiotique antiparasitaire électronique.


Au printemps 2007 j’ai eu la chance de participer à un séminaire de plusieurs jours sur les enseignements de Hulda Clark, qui est venue exceptionnellement en France.

C’est une patiente, Mme J., qu’elle avait guéri d’un cancer qui a organisé ce séminaire. Mme J., dont je respecte l’anonymat à sa demande, avait un cancer très grave et était soignée à Marseille par le centre anti-cancer. Ses médecins l’avaient condamnée à mourir à brève échéance, ne pouvant plus rien faire pour elle, même si elle était sur une liste d’attente de greffe de moelle osseuse.

Madame J., comprenant donc que la médecine classique ne pouvait plus rien faire pour elle, va voir du côté des thérapies alternatives sur Internet et elle tombe sur l’information Hulda Clark et son centre de santé au Mexique. Elle se rend au Mexique avec son médecin, qui est aussi un ami et qui est curieux de l’approche alternative du cancer que propose Hulda Clark. Aujourd’hui, environ plus de deux ans après, Madame J. est considérée guérie et elle se porte bien.

Les dernières analyses faites par l’institut de cancérologie révèle qu’elle n’a plus de cancer et n’a plus besoin non plus de greffe de moelle osseuse. Après enquête et divers témoignages, il semble que Mme J. ne soit pas un cas exceptionnel mais que nombre de patients gravement malades, notamment des cancéreux, aient été guéris par Mme Hulda Clark.


Que s’est-il donc passé au Mexique?


Diverses choses, en résumé, des plantes furent données, notamment la triade désinfectante, clous de girofle, absinthe et brou de noix et des huiles essentielles comme l’origan, très désinfectant. Elle eut aussi une cure de nettoyage des reins et du foie.

Il lui fut prescrit aussi des séances de Zapper. Et il y eut, bien sûr, aussi, un passage chez le dentiste, qui enleva notamment toutes les dents dévitalisées. Des infos qui se trouvent sur le site de Hulda Clark.

 

Toutefois, lors du séminaire, j’apprends diverses choses intéressantes, qui ne se trouvent pas sur son site et dont je vais vous faire part.

Tout d’abord sur l’utilisation du Zapper. J’apprends que son utilisation est réservée aux patients qui ne sont pas trop gravement épuisés. Le Zapper n’est utilisé que lorsque les patients ont repris une certaine vitalité, car, paradoxalement, le Zapper peut tuer les patients trop faibles. L’explication est qu’en explosant germes et parasites, ces derniers libèrent leurs contenus toxiques dans le sang. Un empoisonnement du sang, qui peut alors se révéler fatal au patient.

L’utilisation du Zapper n’intervient donc que bien après l’élimination des dents dévitalisées, qui, elles-mêmes, interviennent juste après la prise des plantes médicinales. Encore une fois, je m’aperçois qu’il vaut mieux faire confiance à la science de la nature qu’à une machine qui veut tuer des cellules, fussent-elles des germes ou des parasites, car les plantes sont toujours bien moins dangereuses. Je me demande même jusqu’où ces germes et parasites n’auraient pas un effet désintoxiquant en se nourrissant des poisons chimiques qu’ils trouvent dans le milieu cellulaire. Une question qu’il serait fort intéressant d’approfondir.

Évidemment, parfois, il vaut mieux détruire les envahisseurs quand ils prennent trop d’importance, d’où l’intérêt des antibiotiques dans les infections, si on n’a rien de mieux. Mais ces démarches ont toujours des effets secondaires, qui peuvent se révéler fatals, lorsque l’énergie du patient est très basse, il faut en avoir conscience. Il est donc parfois essentiel de remonter un peu l’énergie du patient totalement épuisé avant d’effectuer ce genre de traitement
.

Les anesthésiques sont aussi des produits qui empoisonnent l’organisme et les anesthésies dentaires ne font pas exception. Remonter l’énergie du patient avant les anesthésies dentaires n’est donc pas une mauvaise idée lorsque les patients sont très épuisés. C’est ce que fait Hulda Clark avec les plantes et les huiles essentielles, s’étant rendu compte que l’utilisation du Zapper ne pouvait le réaliser. En acupuncture on le fait avec des cautérisations aussi appelées moxas.


Hulda Clark insiste aussi sur le fait de faire boire une eau pure aux patients, notamment une eau ne comportant pas d’agents chlorés ni blanchissants, classiquement utilisés dans le traitement de l’eau. Ces produits toxiques mis dans l’eau courante constituent la première cause de cancer, selon elle. Elle commercialise d’ailleurs certains filtres à eau qui permettent d’éliminer ces produits toxiques.

Plus généralement, elle conseille de fuir toute chimie, notamment celle des dentifrices et autres cosmétiques. L’alimentation est aussi évidemment une préoccupation importante de Hulda Clark, qui insiste pour fuir tout ce qui peut contenir des toxines, notamment celles issue de moisissures ou micro-moisissures. Tous les produits préparés sous emballages plastiques étant souvent porteurs de moisissures. Idem pour les fruits et légumes abîmés. Ses enseignements rejoignent ici ceux de mon Maitre d’Ayurvéda, Brihaspati.


Hulda Clark a développé toute une série d’appareillages électroniques de santé notamment un synchrometer. C’est un appareil dont je n’ai pas vraiment compris le fonctionnement à vrai dire et qui demande une certaine dextérité aussi. Une dextérité que les élèves du stage ont été loin d’avoir tous acquis, même après un stage. Seule Hulda Clark me semble vraiment maîtriser l’utilisation de son appareil. Ce synchrometer permet notamment de tester si un échantillon de sang ou de salive ou d’un quelconque produit contient une substance ou un germe toxique quelconque.

D’autre part, cet appareil permet aussi de tester les substances médicaments pouvant inactiver les diverses substances et germes toxiques. Plusieurs jours furent consacrés à l’apprentissage de l’appareil, mais, à vrai dire, cela ne m’intéressa pas vraiment, dans la mesure où je possède déjà un outil de test qui est le RAC et de multiples outils thérapeutiques, qui me paraissent suffisants.

Parmi les poisons classiquement détectés dans les organismes par Hulda Clark, se trouve le Polonium, un élément radio-actif. Cet élément provient d’une pollution généralisée selon elle mais aussi des céramiques dentaires qui contiennent de la radioactivité. Cet élément s’infiltre dans les os des mâchoires et reste présent même après l’élimination des dents dévitalisées. Ce Polonium est pour elle un poison qu’aucun médicament ne peut inactiver.


Alors qu’elle nous faisait une démonstration de l’utilisation de cet appareil, le synchrometer, je lui demandais de tester le produit, que je m’étais injecté jadis dans mes os des mâchoires où j’avais eu des dents dévitalisées, ce qui avait fini de me guérir mes maux de dos. A sa grande surprise selon elle et son appareil, ce produit arrivait à inactiver le Polonium radioactif.


A la suite de ce séminaire où étaient présents divers thérapeutes, je fus contacté par deux d’entre eux. L’un, Eric Tournier, thérapeute à Cassis, pour sa maman qui avait de graves problèmes cardiaques. Elle avait notamment été hospitalisée en urgence pour une angine de poitrine. Nous lui fîmes enlever les dents dévitalisées, ce qui la sorti de son état qu’on peut qualifier d’urgence, ce qu’aucun autres de ses divers traitements de médecine naturelle n’arrivait à faire.

L’autre thérapeute, Eric Gerber, ostéopathe, homéopathe notamment, à Marignagne, me contacta après avoir fait enlever ses dents dévitalisées (il en avait cinq)
par un ami dentiste, qui accepta exceptionnellement pour lui de le faire. Cet autre thérapeute désirait expérimenter les injections dont j’avais parlé lors du séminaire. Il lui fut fait cinq séries de trois injections à chaque fois. Il me témoigna que ces injections lui firent autant de bien que l’élimination de ses dents dévitalisées, qui, elle-même, fut le traitement qui lui fit le plus de bien de tous ceux qu’il avait faits dans le passé. Intéressant, non…?


Lors du séminaire, je fus invité à passer une soirée en compagnie d’Hulda Clark, de son dentiste et de sa femme elle aussi dentiste d’ailleurs. Hulda Clark a bien compris que si elle peut se passer de médecin pour soigner ses patients cancéreux, elle ne peut se passer de dentiste.

Son dentiste m’expliqua que, pour ses soins, il se conformait scrupuleusement aux directives de Hulda Clark et pour le choix des matériaux et pour celui des interventions chirurgicales. Nous en vînmes à parler d’énergétique dentaire, ce qui me semblait lui être totalement inconnu.

Sa femme me parla d’une douleur à son épaule, sur laquelle divers thérapeutes du continent américain dont son mari étaient intervenus depuis des années, en vain. Je me proposais alors d’essayer à mon tour de la soigner et je diagnostiquais tout d’abord une cicatrice sur une dent de sagesse supérieure.
Je pris alors un petit bout de bois dans le jardin dans lequel nous étions, je l’enflammais avec un briquet et avec le bout rougeoyant, je brûlais sa gencive au niveau de la dent de sagesse. La douleur de l’épaule disparut presque instantanément et presque en totalité.

 

Mme J., qui fut sauvée du cancer par Hulda Clark, voulut créer une association pour diffuser les enseignements de Hulda Clark, en diffusant aussi ses produits. Elle fut considérée par les autorités françaises comme exerçant illégalement la pharmacie et a faillit être traduite en justice. C’est pourquoi, aujourd’hui, elle tient à se mettre en veilleuse et donc à garder l’anonymat et a d’ailleurs arrêté de vouloir diffuser les produits de Hulda Clark (...).

Les médecins cancérologues qui ont constaté sa guérison n’en reviennent pas. La dernière fois que je l’ai eue au téléphone, elle m’a parlé de personnes qui essayaient de diffuser certains produits naturels pour soigner aussi le cancer. Une patiente cancéreuse, qui avait été guérie du cancer par ces produits, est allée voir ses cancérologues de Marseille, qui n’arrivaient pas à la guérir. Que croyez vous qu’il se soit passé?
Les personnes qui lui avaient fourni les produits, identifiées grâce au témoignage de guérison de la patiente guérie du cancer, ont été mises en prison pour "exercice illégal de la pharmacie".

Cela me rappelle mon histoire, quand j’expliquais aux membres du conseil de l’ordre des dentistes tout ce que j’avais guéri en enlevant des dents dévitalisées. La seule chose qui les intéressa ensuite fut de me faire interdire d’exercer… Ah, qu’est-ce qu’on est naïf, parfois!


Quand l’endoctrinement atteint certains niveaux, les pires choses sont parfois faites avec les meilleures intentions du monde, surtout quand l’ouverture d’esprit de ceux qui exécutent les décisions-clés, tels les juges qui sont au sommet de la hiérarchie décisionnelle, est au ras des pâquerettes (pour approfondir ce sujet, voir texte de ce site sur «le problème des juges»)….

Aujourd’hui, tout le monde est tellement persuadé que les solutions sur les maladies graves et le cancer en particulier ne peuvent venir que de recherches officielles effectuées par des scientifiques institutionnalisés en blouse blanche, que tout se qui sort de ce schéma est considéré comme dangereux et à enfermer.
Le grand problème est que d’une part ces blouses blanches institutionnalisées recherchent généralement surtout quelque chose qui va pouvoir se vendre pour justifier leur salaire de chercheur et d’autre part sont, à l’image de la majorité de la société d’ailleurs, imprégnés de la logique d’une médecine des poisons qui fait la guerre à la maladie.

Une médecine qui ne pense donc pour le cancer qu’à empoisonner les cellules cancéreuses sans s’imaginer une seule
seconde que les cellules cancéreuses ne sont pas obligatoirement la cause du problème dit «cancer» mais un symptôme voire une solution ultime de l’organisme face à une autre cause. L’autre cause étant un empoisonnement cellulaire, d’origine physique, chimique, microbienne ou psychologique d’ailleurs. Un empoisonnement qui intoxique tellement la cellule que celle-ci n’a plus que la solution de passer en mode de fonctionnement cancéreux si elle veut avoir une chance d’accomplir sa mission cellulaire.

Des études allant dans ce sens furent d’ailleurs faites jadis par le Dr Kousmine. Elles montraient que des souris atteintes de cancer digestif supportaient paradoxalement bien mieux certains poisons alimentaires que celles qui n’avaient pas de cancer.

Le cancer semble donc avoir un intérêt, aussi incroyable que cela puisse paraître. Evidemment le mode de fonctionnement cancer étant extrêmement énergétivore finira pas épuiser, donc tuer le patient, s’il dure un peu trop longtemps. Cela fait croire à certains que ce sont les méchantes cellules cancéreuses qui ont tué le patient alors qu’en fait c’est l’empoisonnement cellulaire, vraie cause du cancer, qui l’a tué.


Une vision que les médecines alternatives ont généralement compris depuis un certain temps notamment depuis que l’Allemand, le Dr Hamer l’a réexpliqué, faisant au passage deux ans de prison en France pour ses idées. Il en résulte que la véritable guérison du cancer passe avant tout par le désempoisonnement de l’organisme et non par la destruction des cellules cancéreuses, qui redeviendront normales lorsque les conditions de vie cellulaires redeviendront bonnes.

Évidemment en détruisant les cellules cancéreuses, on sauve aussi des vies, c’est vrai, mais les personnes sont ensuite dans un tel état de délabrement énergétique que le terme de mutilation salvatrice me semble plus approprié que le terme de guérison. Les patients guéris du cancer par les traitements officiels, chimiothérapique, radiologiques et chirurgicaux ne peuvent d’ailleurs généralement plus travailler ensuite et sont alors en général indemnisés par des organismes indemnisant les personnes handicapées.

De plus, les récidives du cancer sont fréquentes quand l’organe cancéreux n’a pas été enlevé, surtout si la cause persiste. Les dents dévitalisées étant une cause essentielle du cancer, il est donc essentiel de penser, bien sûr, à extraire les dents dévitalisées dans tous les cas de cancer.

 

Dr Bruno Darmon

Source: http://dent.devitalisee.free.fr/?p=109

 

 

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 10:03

De la valeur des témoignages de guérison

Surtout lorsque l'on est en quête de solutions rapides, concernant les méthodes naturelles alternatives de soins et surtout de guérisons, ce qui intéresse les personnes - en particulier celles qui ont elles-mêmes besoin de se soigner! - c'est de savoir si "ça marche"!

Pour cela deux approches: les études scientifiques et les témoignages des utilisateurs. Bien sûr, les études scientifiques ont leur importance, surtout pour le mental, mais le témoignage d'un malade voué à la mort sous quelques mois par la médecine conventionnelle et qui affirme s'être lui-même guéri en utilisant un protocole naturel déterminé a, pour l'intériorité, une force probante encore plus grande...

Concernant les Protocoles de Soins de la Doctoresse Clark, encore relativement peu connus en France, il en existe beaucoup en langue anglaise, mais encore peu en français.

C'est pourquoi la mise à disposition d'un dossier de 50 témoignages, principalement axés sur de spectaculaires guérisons de toutes sortes de cancer, peut s'avérer être un atout précieux pour les francophones.

Il est déjà possible, avec une participation modique, de télécharger le dossier de témoignages en question en cliquant ICI. Il semble qu'une version papier soit aussi en préparation...

Le témoignage ci-dessous, à titre d'exemple, empreint d'une grande reconnaissance (ce qui est le cas de beaucoup!), est extrait de cet interpellant dossier...


Dossier numéro 1032


CANCER LYMPHATIQUE


Merci pour ce livre merveilleux [«La Cure de tous les cancers»]. Ma mère s’est guérie parce qu’elle l’a lu et qu’elle a choisi de son plein gré de prendre les clous de girofle et tout le reste.

En Août 2000, l'on a diagnostiqué que ma mère était atteinte d’un cancer lymphome et, le jour où elle a commencé les clous de girofle, le 24 octobre 2000, elle était rendue au stade IV de son cancer et n’avait plus que six mois à vivre.

Merci à vous et merci à Dieu de vous avoir donné ces connaissances et la possibilité d’écrire ce livre magnifique. Nous vous remercions infiniment du fond du coeur.

Doctoresse Clark, que Dieu vous bénisse et vous protège! Vous êtes vraiment une femme merveilleuse et, grâce à ce livre, Dieu vous a conduite auprès de bien des gens.

Le 15 décembre 2000, ma mère est allée à Gainesville passer trois scanners et, au vu des résultats, les médecins sont tout interdits. Ils lui font passer de nouveaux scanners parce que le cancer a disparu. Il n’est tout simplement plus là. J’ai tellement prié dans ce sens.

Merci pour tout, Doctoresse Clark, et je prie Dieu de ne jamais vous abandonner dans vos entreprises.

Nous vous aimons,

«MLB»
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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 08:51

Mort par ignorance

Il est triste d'apprendre, régulièrement, alors que des solutions existent, que des gens décèdent du cancer... Parfois, il s'agit de personnalités en vue, comme le chanteur français Alain Bashung récemment décédé d'un cancer du poumon.

Il est parfois difficile de savoir comment ces personnalités étaient soignées et si elles ont ou non été suffisamment informées pour essayer comment l'ancien président français François Mitterrand (produits Beljanski) ou l'ancien président américain Ronald Reagan (clinique allemande) des traitements naturels alternatifs...?

Mais, tant la vérité est noyée au milieu d'un océan de mensonges et de dissimulations, même des personnes qui sont des célébrités ne sont pas toujours au courant de l'existence de ces possibilités de soins naturels alternatifs efficaces et donc pas à l'abri de devoir succomber alors qu'elles auraient pu vivre...

Alors, que ceux qui sont
conscients de cela participent à l'effort d'information, en relayant partout autour d'eux ces précieuses informations qui peuvent sauver des vies... C'est aussi ce que, avec vigueur, dit Jean-Jacques Crèvecœur.

C'est une question de vie ou de mort!
 
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