3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 10:35
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4 novembre 2016 5 04 /11 /novembre /2016 11:32
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19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 21:19

Chimiothérapie - Les vérités indésirables

Par Sylvie Simon

A lire en cliquant sur le lien ci-dessous:

Chimiothérapie - Les vérités indésirables

 

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 09:57
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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 20:50
Les effets de la chimiothérapie
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La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la Seconde Guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années cinquante.

Il fut découvert ensuite que le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre freinaient la croissance des tumeurs.

Cette découverte arrivait à point à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état pitoyable n’importe quelle personne en pleine santé.

Le fait d’utiliser des poisons dangereux et mortels en médecine n’est pas nouveau. Dans son ouvrage Cancer: médecine traditionnelle et médecine alternative, Jane Heimlich rappelle que, tout au long du XIXe siècle, l'on a prescrit une potion de mercure appelée Calomel, et ceci pour soigner à peu près toutes les maladies. Ce traitement administré au long cours était souvent fatal. L'on recommandait 5 à 10 grains à prendre la nuit. Ceci représentait 320 à 640 mg de chlorate de mercure. Des études menées en 1984 précisèrent que 500 mg de ce sel pouvait entraîner la mort. Donc, pendant près d’un siècle, les médecins ont allègrement «exécuté» leurs malades par empoisonnement, sans trop se poser de questions.

Les choses n’ont guère changé depuis, la chimiothérapie et autres drogues homologuées ayant pris le relais.

Un ami médecin est entré un jour dans une salle hospitalière (c’est une façon de parler !) où dix-huit personnes alitées se faisaient perfuser un cocktail chimio. Il fut violemment pris à la gorge et resta aphone pendant presque deux jours. Il y a de quoi s’inquiéter pour le personnel soignant.

Une personne m’a raconté après avoir reçu une chimiothérapie, que l’infirmière lui avait dit pendant le branchement: «Il ne faut pas qu’une seule goutte du produit sorte de la seringue, car ses vapeurs attaquent les bronches et cela laisserait une marque indélébile sur votre peau». Lorsque l’on pense que c’est cela qui est diffusé dans les veines, ça fait froid dans le dos!

Plus "cocasse" encore, un scoop relevé dans le Figaro il y a une dizaine d’années m’a été rapporté: trois morts dans une salle d’opération parmi le personnel médical suite à l’ouverture de l’abdomen d’une patiente. Elle venait de recevoir une chimio, et des gaz très toxiques ont été libérés.

Enfin, j’ai pu avoir connaissance de la facture d’une seule séance de chimio «douce»: 2600 €uros. Mais selon le cocktail, la facture peut atteindre dans certains cas, paraît-il, plus de 6000 €uros.

Qui paie? La Sécurité Sociale bien sûr; mais la Sécu, c’est le contribuable, donc nous. Multiplié par 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an (en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 €uros, le chiffre de 90.000 €uros que rapporte chaque cancéreux, et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards d’€uros.

Par ailleurs, sachant que le coût de fabrication de ce type de produits initialement à vocation militaire doit être dérisoire, l'on imagine les profits colossaux générés dans la chaîne de distribution et l’on comprend que personne n’a intérêt à ce que le cancer soit éradiqué. Alors, malheur aux Géo-trouv’tout!


Dernière minute: J’ai rencontré un haut responsable de grands laboratoires pharmaceutiques dont l’épouse a été guérie «illégalement» d’un cancer de la langue, et qui m’a avoué que, depuis plus de 30 ans, ils avaient des «recommandations» pour n’orienter aucune recherche en ce qui concerne le cancer!!!

Ceci n’est pas une surprise mais seulement une confirmation de nos certitudes.

Extrait du livre «Prenez en main votre santé – Tome 2» - Michel Dogna – Guy Trédaniel Editeur
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