28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 15:41
Guérir le cancer avec l'hyperthermie

 

Un protocole de soins d'une extra-ordinaire simplicité, qui requiert, en tout et pour tout, une baignoire et ... de l'eau chaude! Ce que beaucoup ont déjà chez eux!

Tout d'abord, un extrait du livre "Le secret de nos origines":

"On connaît la célèbre expérience de Pasteur, prouvant déjà que l'hyperthermie, c'est-à-dire l'élévation de la température interne, constitue un facteur de guérison.

Pasteur prend des poulets, qui sont naturellement réfractaires à la maladie du charbon, leur inocule des bacilles, plonge leurs pattes dans l'eau froide, ce qui fait tomber la température de 42° à 37°: peu de temps après, les poulets contractent la maladie et meurent.

Mais si l'on prend l'animal déjà malade, et qu'on le place dans une cabine surchauffée, après l'avoir enveloppé dans une couverture, il est complètement rétabli quelques heures plus tard, le bacille charbonneux a disparu de son sang.

Pasteur prouve ainsi que le microbe est peu de chose lorsque le terrain se trouve en état de résistance, et ceci malgré un agent particulièrement virulent.

Plus tard, Jolyet refit une expérience analogue, mais encore plus probante; il prouva que le lapin, qui succombe rapidement à l'inoculation du charbon, puisqu'il n'est pas réfractaire à cette maladie, la supporte sans inconvénient si l'on élève artificiellement à 42° ou 43° sa température, qui est naturellement de 39°.

Un Allemand, le professeur Henri Lampert, rapprocha de l'expérience faite par Pasteur sur les poulets un certain nombre d'observations.

Les Japonais, qui usent abondamment de bains chauds, ne présentent qu'un chiffre très bas de cancers dans les statistiques, vingt fois moins que les chiffres courants.

Pendant la dernière guerre, Lampert se guérit d'une fièvre typhoïde en utilisant des bains hypercaloriques.

Sur le front russe, il vint à bout, grâce à ce moyen, d'une épidémie de la même maladie [la typhoïde]: il faisait prendre aux soldats des bains à 43°.

Avec un autre Allemand, le professeur Goetze, Lampert essaya de traiter des cancers superficiels, puis ils étendirent la méthode à d'autres cancers.

La technique consiste à placer le malade dans un bain à 36°, et à élever progressivement la température du liquide jusqu'à 42°, le cœur étant constamment surveillé, car le bain dure très longtemps. Peu à peu, la température du patient s'élève.

Pour expliquer les résultats obtenus, Lampert et Goetze déclarent:

«Lorsque la température du corps est portée artificiellement à 39°, la cellule maligne commence à dépérir, et à 42°, elle périt; par contre, la cellule saine supporte aisément une température interne de 43°, et elle n'est en danger qu'aux environs de 45°.»

Quelle que soit la valeur de l'hypothèse, il est saisissant de constater que, dans l'expérimentation, Lampert et Goetze retombent exactement sur le chiffre mis en évidence par Quinton [44° C] (*), comme étant celui où la vie put faire son apparition et quelle tend à conserver pour maintenir son haut fonctionnement cellulaire.

Les observations de Robert-Simon et des deux Allemands se complètent heureusement sous la lumière des grandes lois de constance marine et thermique.

Le Français s'est préoccupé uniquement de la recharge minérale, tandis que les Allemands n'ont envisagé que le facteur thermique. Or la cellule, par l'intermédiaire du milieu intérieur, est soumise à ces deux conditions, minérale et thermique. Il serait donc souhaitable d'expérimenter, en matière de cancer, ces deux moyens si étroitement complémentaires. Mais le traitement doit être surveillé par un médecin.

Il est possible qu'en obtenant, avec l'injection d'eau de mer, la recharge minérale, il ne soit plus nécessaire d'utiliser d'aussi hautes températures de bain, une simple relance thermique suffisant alors, et le danger d'accidents cardiaques disparaissant ainsi.

Mais deux écueils sont à redouter n'importe comment: la rupture de gros vaisseaux par suite de la chute brutale de la tumeur, ou une toxémie avec myocardite par suite de la résorption massive des toxines dues à la destruction tumorale."

Source: "Le Secret de nos origines: Les Vertus curatives de l'eau de mer révélées par René Quinton" de André Mahé.

Lire l'ouvrage en ligne:

https://iao.vision:8443/compartit/llibres%20webs%20documents/salut/Ren%C3%A9%20Quinton/Andr%C3%A9.Mah%C3%A9.Le.secret.de.nos.origines.(ren%C3%A9.quinton).(livre%20scann%C3%A9)/mah%C3%A9.origines.txt

 

(*) Loi de constance thermique de René Quinton: «En face du refroidissement du globe, la vie apparue à l’état de cellule par une température déterminée tend à maintenir, pour son haut fonctionnement cellulaire, chez des organismes indéfiniment suscités à cet effet, cette température des origines».

 

Lire aussi: "Überwärmung als Heilmittel" von Professor Henri Lampert (1948). Verlag Hippokrates, Stuttgart.

Lire aussi: "Tout soigner par la chaleur". Article de Pierre Lance dans la revue "Alternatif Bien-Être" n° 128 de Mai 2017.

Voir aussi, du même Pierre Lance, dans le livre  "Savants maudits, chercheurs exclus", tome 1, le chapitre consacré à René Quinton, pages 97 à 122.

 

En résumé: L'on peut soigner le cancer (et plein d'autres pathologies) simplement avec de l'eau bien chaude dans une baignoire. Cela peut sembler complètement anodin, mais cela ne l'est pas, parce que certaines précautions sont à respecter, en particulier si la personne a un système cardio-vasculaire fragile.

Protocole:

Il convient de démarrer le bain à 36°C.

A l'aide d'un mitigeur et d'un thermomètre de baignoire la température doit être élevée progressivement.

A titre de précaution, ne pas dépasser pour l'eau la température de 42°C. (en effet, à partir de 45°C l'excès de chaleur peut nuire aussi aux cellules saines, ce qui n'est pas le but!).

Le bain peut durer plusieurs heures.

Surtout chez les cardiaques, pour être sûr qu'il supporte la chaleur sans problèmes, le cœur doit faire l'objet d'une surveillance médicale.

Un lieu où l'on pratique l'hyperthermie

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